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Revue de presse janvier 2008

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REVUE DE PRESSE
 
Le Parisien : jeudi 10 janvier 2007
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Ce jour, Le Parisien fait un tour d’horizon en Seine-Saint-Denis des « points chauds » et des « communes à suivre », lors des prochaines Elections Municipales de mars 2008.
 
En ce qui concerne Noisy le Grand, le rédacteur précise que Michel Pajon a renoncé, il y a quelques mois, au projet extrêmement contesté d’aménagement des Bas Heurts.
 
Sauf décision contraire de dernière minute en provenance de la Mairie, l’ADIHBH-V informe les lecteurs de ce journal qu’à ce jour, nous infirmons ce type d’information. En effet, dans son communiqué du 11 septembre 2007 (Voir article "Revue de Presse septembre 2007"), le Cabinet du Maire réaffirmait sa volonté de poursuivre, selon un calendrier et des modalités qu’il conviendra de préciser, l’aménagement de cette partie du territoire communal, en menant des discussions avec tous les acteurs concernés, y compris avec les habitants des Bas Heurts.
 
Dans ce cadre, aujourd’hui, notre Association est dans l’attente, avant les Elections Municipales, d’un début de concertation avec la ville, suivant des modalités définies par la « Charte de la Concertation ». (voir article "Concertation àNoisy-le-Grand")
 
Pour le reste, l’ADIHBH-V compte bien participer au débat municipal.
 

Droit de préemption

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LE DROIT DE PREEMPTION URBAIN 
DES COMMUNES
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Le droit de préemption urbain (DPU), permet à une collectivité locale d’acheter en priorité des biens mis en vente dans des zones préalablement définies, sur tous biens immobiliers achevés depuis au moins 10 ans. Le DPU permet donc à une commune d’acquérir un bien immobilier en se substituant à l’acquéreur trouvé par le vendeur. Le but de cette procédure est de réaliser des opérations d’intérêt général, et d’orienter le développement urbain en disposant de la maitrise foncière. Le DPU doit toujours parfaitement préciser le motif invoqué.
 
Entre autres, sont exclus du droit de préemption urbain « simple » :
 
-         Les biens immobiliers faisant l’objet d’une donation ou d’une succession
-         Les immeubles appartenant aux organismes d’HLM
-         Les lots de copropriété (habitation), portant sur un seul local
-         Les immeubles achevés depuis moins de 10 ans
 
Si la commune a voté un droit de préemption urbain dit « renforcé », il s’étend aussi aux immeubles bâtis depuis moins de 10 ans, et aux locaux compris dans un bâtiment soumis à un régime de copropriété depuis plus de 10 ans.
 
La commune ne peut intervenir que dans des zones préalablement définies par un acte administratif. Toutefois, le plus courant est le droit de préemption urbain (DPU) que la commune exerce sur tout son territoire.
 
A Noisy-le-Grand, le DPU était instauré sur le territoire communal depuis 1987. Il s’appliquait sur les zones urbaines et d’urbanisations futures délimitées par le Plan d’Occupation des Sols (POS), ainsi que sur les ZAC. Compte tenu de l’évolution des zonages intervenue dans le cadre du Plan Local d’Urbanisme (PLU), approuvé par la délibération du Conseil Municipal en date du 26 juillet 2007, il a été nécessaire lors du Conseil Municipal du 25 octobre 2007 de réajuster les périmètres du DPU aux nouveaux zonages, et de mettre en cohérence le DPU avec le PLU.
 
(NB : Signalons que plusieurs Recours Contentieux ont été déposés au Tribunal Administratif de Cergy Pontoise, à l’encontre de la délibération du CM en date du 26 juillet 2007, adoptant ce PLU)
 
Il convient d’indiquer qu’aujourd’hui, à Noisy-le-Grand, le DPU « simple » est institué sur l’ensemble des zones urbaines et à urbaniser (à l’exclusion de la ZAD du Clos d’Ambert). Toutefois, est institué également un DPU « renforcé » sur les secteurs : Mont d’Est, Pavé Neuf, sur l’Îlot délimité par l’Avenue Emile Cossonneau, la rue du Docteur Jean Vaquier, la rue des Anciens Combattants d’Afrique du Nord et la place Galliéni.
 
Toutefois, à l’heure actuelle, il n’est pas inutile de préciser que de nombreuses municipalités utilisent aussi le Droit de Préemption Urbain à d’autres fins que la réalisation d’opérations d’urbanismes. Ainsi, il est courant qu’elles s’en servent comme moyen de lutter contre la spéculation immobilière, sans avoir la moindre intention d’acheter. En effet, elles préemptent en proposant systématiquement des prix inférieurs à ceux du marché. Quand le juge retient un prix trop élevé au goût de la municipalité, cette dernière fait appel. Dans tous les cas, le propriétaire vendeur aura perdu beaucoup de temps et son acheteur initial se sera volatilisé ! Le droit de préemption est également utilisé pour bloquer des transactions, tout aussi illégalement, afin d’évincer tel ou tel promoteur qui aurait un projet immobilier jugé indésirable, sur la commune.
 
Cependant, les particuliers en butte à ces pratiques abusives ne sont pas désarmés, en portant l’affaire en justice, notamment devant le Tribunal Administratif, de plus en plus vigilant en la matière. Encore faut-il s’adresser à un bon avocat spécialisé en urbanisme, et dans les méandres de la procédure DPU.
 
 
 
LA PROCEDURE
 
1-    La Déclaration d’Intention d’Aliéner (DIA) :
 
Si le bien est situé dans une zone couverte par un droit de préemption, il faut adresser au Maire de la commune une DIA indiquant le prix et les conditions de la vente.
 
Dans la pratique, c’est votre notaire qui remplit et expédie la DIA. Toutefois la loi n’impose pas le recours à un notaire, et toute personne peut effectuer cette formalité. Néanmoins, cette procédure comportant de nombreuses chausse-trappes, il est prudent de prendre conseil auprès du notaire chargé de la vente, qui ne sera pas le même que celui de l’acquéreur du bien préempté.
 
Dans la DIA, seules les indications contenues dans le document sont opposables à l’administration lors d’un recours, car cette démarche est en fait une offre de contracter faite à l’administration. La DIA doit faire ressortir tous les éléments essentiels de la vente, elle doit refléter parfaitement l’intention des parties. En cas de litige, elle fait partie des pièces produites.
 
En effet, la nature des accords conclus dans la DIA peuvent aider à régler le sort de l’acquéreur initial, qui est devenu l’acquéreur évincé. 
(c’est celui qui, par exemple, a vendu son appartement Parisien, pour acquérir un petit pavillon à Noisy-le-Grand et qui se trouve évincé deux jour avant le fin du délais des 2 mois dont dispose la commune pour faire connaître sa décision de préemption).
Dans ce cas, l’acquéreur évincé est désemparé puisqu’il se retrouve à la rue. Toutefois, il est loin d’être démuni et il pourrait attaquer la légalité de la décision devant le juge du Tribunal Administratif, si la DIA était bien ficelée, mais que de soucis en perspectives !!!...
 
2-    Le choix de l’administration :
 
A ce stade la commune peut :
-       ne pas répondre (son silence vaut renonciation), ou renoncer expressément à exercer son droit. Le bien peut être mis en vente au prix annoncé dans la DIA.
-        accepter au prix proposé, la vente est donc conclue, le droit de retrait du vendeur est impossible. L’acte de vente doit être passé dans les 3 mois et le prix payé, dans les 6 mois. Faute de quoi, vous pouvez demander à la commune de vous rétrocéder le bien.
-        faire une contre-proposition. Le vendeur a 2 mois pour retirer son bien de la vente (son silence vaut renonciation), ou accepter la contre proposition. A défaut d’entente, la commune doit saisir le juge des expropriations au Tribunal de Grande Instance, sous 15 jours. Compte tenu de la jurisprudence, il y a de bonnes chances pour que le prix ainsi fixé soit supérieur à l’offre de la commune. Une fois que le juge a rendu sa décision, vous ou la commune avez 15 jours pour faire appel.
-        renoncer à acheter avant la fixation judiciaire du prix. Dans ce cas, le propriétaire peut vendre au prix indiqué dans la DIA.
 
CONCLUSION
 
Les biens préemptés par les municipalités doivent être utilisés dans les 10 ans selon la finalité affichée dans la décision de préemption. En effet, le code de l’urbanisme impose que la liste de tous les biens préemptés, ainsi que leur utilisation effective, soient consignées sur un registre accessible à tous.
 
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 Communiqué

Lors du Conseil Municipal du 25 octobre 2007, Madame Marylise MARTINS, Présidente du Groupe UDF, a voulu faire une déclaration politique relative à la délibération sur le Droit de Préemption Urbain (DPU), sur Noisy le Grand. Monsieur le Maire ayant interrompu son exposé, cliquez sur l'image ci-dessous pour accéder à l’intégralité de son exposé. 

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2008

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L'ADIHBH-V vous souhaite une très bonne année 2008 et vous remercie de votre fidélité. Cette année sera marquée par la prochaine campagne municipale et les Noiséens devront être très attentifs aux projets de chacun des candidats. Nous restons bien sûr très vigilants car nul doute que les projets d'urbanisation -et particulièrement celui des Bas-Heurts- seront au coeur de la campagne. En attendant, continuez à nous faire part de votre point de vue...

A bientôt sur notre blog !


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Les champignons de Myco-nimbus

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FAITES CONNAISSANCE AVEC LES CHAMPIGNONS
DE MYCO-NIMBUS
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Si tous les adhérents de l’ADIHBH-V sont des initiés de l’urbanisation de Noisy le Grand, nous connaissons aussi de fervents mycologues. Aussi, nous ne pouvons que vous conseiller d’aller visiter le site de myco-nimbus, grand ami de notre Association en banlieue Sud, et encore plus grand mycologue devant l’éternel.
 
Après une séance houleuse du Conseil Municipal ou vous apprenez que Monsieur le Maire envisagerait de raser votre pavillon, avouez franchement que le lendemain matin, lors d’une belle matinée automnale, une bonne randonnée mycologique dans les forêts de Ferrière, Pontcarré, ou de Célie, peut être une bonne thérapie pour atténuer vos céphalées.
 
Mais attention, tous les champignons, même comestibles, peuvent entraîner des troubles digestifs. En effet, consommés en trop grande quantité, mal cuits ou bien évidemment avariés, ils sont souvent à l’origine de troubles intestinaux (nausées, vomissements, diarrhées, douleurs abdominales, ….), plus ou moins importants selon la fragilité de chacun. Les symptômes cliniques sur l’homme, sont exactement les mêmes que ceux qui peuvent se développer sur vous-même lors de  la création soudaine d’un « périmètre d’étude »  dans votre quartier !!!...
 
Hormis les aspects sportifs et intellectuels, les gourmets pourront même pousser plus loin leur plaisir, en s’initiant à la myco-gastronomie (cuisine à base de champignons). D’autres, grands amateurs de photographie, pourrons perfectionner leur art en macro- photographie.
 
Enfin, vous pourrez également découvrir le Cercle Mycologique de Marcoussis et Environs (91), qui organisait du 20 au 21 octobre dernier une magnifique exposition Mycologique de renommée régionale et qui, cette année, pour la première fois vient d’obtenir une audience nationale avec un reportage d’Antenne 2, dans l’émission « Envoyé Spécial », du  22 novembre 2007.
 
En conclusion, disons que la mycologie passionnée de  mon ami Alain Nimbus, est un violon d’Ingres, qui vous fera travailler en une seule balade la tête et les jambes, c’est un sport complet. Que de la beauté, du bonheur et du plaisir !
 
Pour cela, consulter : http://myco-nimbus.over-blog.fr . 
Alain Cassé


Si vous aviez manqué "Envoyé spécial" du 22 novembre sur les champignons, nous vous invitons à regarder cette vidéo
 
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Modernisation de l'usine d'épuration "Marne Aval"

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hd-07n06917.jpgPhoto publiée avec l'aimable autorisation de la SIAAP


MODERNISATION DE L’USINE D’EPURATION
« MARNE AVAL »
Quartier de La Varenne – Noisy le Grand (93)
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Après 30 ans d'activité, l'usine d'épuration du SIAAP Marne aval à Noisy le Grand (93) se rénove et se dote des technologies les plus récentes.
 
115 millions d'euros d'investissement financés par l'Agence de l'eau Seine-Normandie (45%), le SIAAP (35%) et la Région Ile de France (20%), 8 hectares d'aménagement paysagers.
 
34 mois de chantier pour une mise en installation en 2009. La priorité à été donnée à la protection de l'environnement et à reconquête de la Marne.
 
Sa capacité de traitement sera de 75 000 m3 / jour par temps sec, et 125 000 m3 / jour par temps de pluie.
 
Avec la modernisation de cette usine, le SIAAP améliore la qualité de traitement des eaux usées avant leur rejet dans le milieu naturel, tout en préservant le cadre de vie des riverains.
 
Le SIAAP a mis en place une commission de suivi des travaux, et attache énormément d’importance à la communication sur l’avancement du chantier.
 
Alors que la deuxième réunion se déroulait le 28 septembre dernier, bien évidement, c’est avec beaucoup de plaisir que l’ADIHBH-V participait à ces travaux. L’ordre du jour était le suivant, à savoir :
 
-      Présentation du procédé de dépollution des eaux usées,
-      Présentation du procédé de traitement des boues,
-      Présentation des procédés de traitement des fumées et des odeurs,
-      Avancement du chantier,
-      Visite du laboratoire d’analyse des eaux.
 
Si les villes de Champigny sur Marne, Bry sur Marne et Neuilly sur Marne étaient présentes, bizarrement la Municipalité de Noisy le Grand brillait par son absence, alors que l’aménagement de cette usine de nouvelle génération d’intérêt régional, se réalise dans sa ville.
 
Peut-être que pour comprendre cette attitude, faudrait-il se rappeler que Monsieur le Préfet de Seine Saint Denis, n’a pas retenu la technologie proposée par Monsieur le Maire de Noisy le Grand ? Ce n’est pas très sérieux !


Pour plus d'informations, cliquez sur les images ci-dessous
 
Num--riser0001.jpg    Num--riser0002.jpg
 



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