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Le harcèlement continue...

Publié le par adihbhv




Voici le courrier que reçoivent les habitants du quartier : un cabinet de transactions immobilières bien informé sur les noms des résidents et les numéros de leurs parcelles s'emploie à une forme de pression bien connue aux Bas-Heurts.

Nous sommes en période d'enquête publique, c'est à dire que rien n'est encore décidé par le Préfet. Il n'y a donc pas d'expropriations aujourd'hui!

Cette forme de harcèlement et de mise sous le fait accompli est détestable et vise à déstabiliser les personnes les plus faibles pour des opérations mercantiles privées servant aussi les projets immobiliers de la municipalité !

 

 

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Les commentaires de Sandra

Publié le par adihbhv

Bien que nécessaires, les derniers articles étaient un peu techniques. Sandra, bientôt 9 ans, nous fait un résumé de la situation...



 








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Publié dans humour...

La vérité sur l'AFUA de l'Espérance

Publié le par adihbhv

Historique d'une espérance avortée et d'une dissolution municipale programmée


Face à la lancinante dialectique de M. Le Maire, inexacte et totalement contraire à la vérité, sur l'origine de l'AFUA de l'Espérance du quartier des Bas Heurts, l'ADIHBH-V se doit aujourd'hui de rétablir la vérité.
 
Pendant plus de 30 ans, dans ce quartier, de nombreux habitants ont subi la menace de l'autoroute A 87, projet abandonné en 1984.
 
Lors d'une révision du Plan d'Occupation des Sols en 1990, Madame Richard alors Maire de Noisy-le-Grand, avait proposé de classer cette zone NA « non constructible », en zone UG pavillonnaire afin de permettre à ce quartier un développement urbain cohérent sans expropriation, sachant que le prédateur qui sévissait sur le secteur était à l'époque vraisemblablement l'EPA MARNE.
 
C'est donc le 23 novembre 1991, que fut créée l'Association Foncière Urbaine Autorisée de l'Espérance (A.F.U.A), afin de remembrer, de redonner une autonomie à certaines parcelles trop étroites ou enclavées pour préserver le patrimoine des propriétaires en les faisant participer, tant en surface qu'en taxes diverses, comme l'assainissement par exemple. A cette époque le coût total de l'opération s'élevait à 2,5 MF

Toutefois, ultérieurement, tout a dégénéré dans le non respect des statuts, la valse des coefficients réducteurs pour l'emprise des voiries et la répartition des charges.

En mai 1994, Monsieur le Maire PONTONE proposait d'allouer une subvention Municipale de 3,00 MF représentant 50% des travaux, à condition que les propriétaires se mettent d'accord sur le remembrement.

En 1996, pour les 42 propriétaires aux revenus modestes, retraités ou autres, le montant des dépenses s'élevait déjà à 8,5 MF.

Sur cette même période un bureau d?Etude avait travaillé pour étudier les différents scénarios envisageables sur les bas Heurts,et le projet avait déjà couté 364 000 F. Toutefois, pour différents problèmes administratifs (Préfecture, Municipalité,?) l'AFUA n'a pu faire face à ses créancier. Ainsi, dans le courant du premier trimestre 1995, la société Géo-Ingineering assignait le Président de l'AFUA devant le Tribunal de Grande Instance de Bobigny, pour dépenses engagées non réglées.

En 1995, l'arrivée d'une nouvelle Municipalité, intronisait Messieurs Marc FOUCHY (Maire Adjoint chargé de l'urbanisme) et Michel MIERSMAN (1er Adjoint chargé des Finances) représentant la Ville de Noisy le Grand, dans le Syndic. D'entrée, dans sa séance inaugurale du 4 décembre 1995 qui fera date dans l'histoire des Bas Heurts, M. MIERSMAN rappelait l'attachement de la ville à cette opération d'urbanisme, pour deux raisons, à savoir :
 
  • L'AFUA de l'Espérance a été créée à l'initiative de la ville aux fins d'éviter les expropriations trop fréquentes en ZAC, (NDLR : lorsque nous connaissons la suite des événements sur la ZAC de la Croix aux Biches, heureusement que le ridicule ne tue pas ! Nous apprécierons encore une fois tout le crédit que nous pouvons accorder à M. le Maire)
  • La commune est propriétaire de terrains au sein du périmètre et a, comme tout propriétaire privé intérêt à la réussite du remembrement.
 
C'est pourquoi, compte tenu des difficultés financières que rencontre l'Association pour régler ses créanciers, la Municipalité allouera dans le cadre du budget supplémentaire 1995, une subvention de 364 000 F, qui viendra en déduction de la subvention Municipale de 3MF, sous réserve qu'une majorité se dégage quant à la poursuite de l'AFUA (NDLR :Nous verrons ultérieurement que la municipalité a voté pour la dissolution de l'AFUA.?)
 
Lors d'une Assemblée Générale Extraordinaire, le 2 avril 1997, les propriétaires n'ayant pas réussi à se mettre d'accord sur la répartition des charges, le remembrement volontaire devenait difficilement envisageable, et l'AFUA fut dissoute. En fait, il apparaît que sur 36 propriétaires représentant une surface totale de 36 196 m², 24 se sont prononcés pour la dissolution, 9 contre et 3 se sont abstenus. Précisons que la ville de Noisy le Grand, propriétaire de 5548 m² soit 15% du territoire s'est abstenu, alors que Monsieur le Préfet de Seine Saint Denis dans un courrier de décembre 1995 avait bien précisé que toute abstention serait considérée comme s'étant prononcé pour la dissolution.
 
En fait, voilà les vrais raisons et la réalité des choses, et non comme le précisait M. Michel Pajon dans Le Parisien du 12 juillet 2006 : « En 1995, quand j'ai proposé aux habitants de rationaliser économiquement et socialement le quartier, l'AFUA s'était engagée à me faire une proposition. Je l'ai soutenue financièrement, mais je n'ai jamais rien vu venir ! » Faux et encore faux, M. Pajon, le projet était initialement engagé par Madame Richard en 1991, différentes solutions ont été étudiées, ce qui a occasionné des frais. En 1995, vous avez tout simplement soldé la dette, tout en faisant des arabesques au sein du Syndic avec vos condisciples Messieurs FOUCHY et MIERSMAN, pour finalement voter  l'enterrement de première classe de l'AFUA  le 2 avril 1997, comme chaque fois que vous vous êtes introduits dans une Association à Noisy-le-Grand, afin de la noyauter.
 
Ultérieurement, le Président de l'AFUA a eu l'occasion de préciser que la ville n'avait pas joué le jeu dans cette affaire, en s'abstenant de voter le 2 avril 1997. Si la ville avait vraiment voulu un remembrement elle n'aurait pas voté pour la dissolution de l'Association. En l'espèce, les engagements électoraux du candidat Michel Pajon qui prévoyait de terminer les aménagements des Bas Heurts n'ont  une fois encore pas été tenus. Toutefois, dans le cadre de ce projet de remembrement, par voie de préemption, la ville en a profité pour acquérir plusieurs parcelles, et M. FOUCHY précisait qu'elle conserverait ses biens et qu'il n'y aurait pas de rétrocession.
 
Enfin, dans sa séance du 19 octobre 1998, Monsieur FOUCHY précisait qu'une réflexion était actuellement menée sur l'ensemble du périmètre de l'AFUA, portant à terme sur la réalisation de logements intermédiaires en petits collectifs et maisons de ville préconisée dans le cadre du Programme Local de l'Habitat (PLH), de la ville.
 
Effectivement, dans le PLH approuvé en Conseil Municipal le 17 juin 1999 et toujours en vigueur, (Chapitre : Scenario retenu et programmation - Schéma d'objectifs et d'actions - Fiches actions), nous trouvons page 15 : « Le périmètre de l'AFUA couvre en superficie environ 3,6 ha... La commune, propriétaire d'une partie des terrains pourrait d'ores et déjà élaborer un projet sur les parcelles la concernant. La maîtrise foncière permettrait également l'intégration de quelques programmes locatifs sociaux dans un projet d'ensemble ».
 
En conclusion, il faut maintenant expliquer à Messieurs les Commissaires Enquêteurs, pourquoi cette municipalité :
 
  • -n’a pas eu la volonté d’urbaniser raisonnablement les Bas Heurts, en 1997,
  • -n’a pas eu la volonté d’entretenir la voirie et les éclairages publics, alors que les résidents payent des impôts locaux et autres,
  • -lors de la concertation d’octobre 2004, avec son Architecte faisait une description apocalyptique du quartier, pour justifier son « urbicide », du style : aucun partage physique ou qualitatif des espaces, des parcelles qui débouchent sur la rue, pas de trottoirs, une succession de volumétrie qui n’arrivent pas à donner une cohérence et une structure, une typologie de l’habitat mélangé, etc….
  • -souhaite réaliser subitement un projet de ZAC pharaonique, sous la pression des promoteurs immobiliers, en rasant tout un quartier, alors que la logique d’un PLU, c’est la rénovation urbaine.
  • -pré fabrique une pseudo Utilité Publique complètement artificielle, alors que dans la réalité, il n’y a pas d’Utilité Publique,
  • -veut urbaniser maintenant 9,3 ha au lieu des 3,6 ha initiaux, en totale contradiction avec les préconisations du PLH de 1999, toujours en vigueur.
Lorsque l'on veut tuer ton chien, on dit qu'il a la rage !

 

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Enquêtes publiques et PLU

Publié le par adihbhv



Enquêtes Publiques sur la ZAC du
Clos aux Biches
_____
 
 
Nous devons impérativement participer aux Enquêtes Publiques sur la ZAC du Clos aux Biches:
 
- L'une porte sur la Déclaration d'Utilité Publique (DUP), valant mise en compatibilité du Plan d'Occupation des Sols (POS).
-      L'autre est une Enquête Parcellaire pour les résidants des Bas Heurts.
 
Et attention aux confusions !!!
 
Vous avez 3 registres, dont un spécialement pour la mise en compatibilité du POS. Sous une forme discrète et sournoise, ce registre est quasiment le plus fondamental de l'Enquête pour la densification des Bas Heurts, demain!
 
En effet, le dossier d'enquête préalable à la déclaration d'utlité publique indique en ce qui concerne la typologie du bâti réalisé, que les bâtiments de la ZAC seront, en moyenne, de type R+4 + comble.
 
Par ailleurs, le dossier de mise en conformité du POS sur la ZAC des Bas Heurts, mentionne la substitution d'une nouvelle zone UJ aux zones UG et UB actuelles, dont les hauteurs maximales des constructions des façades seront limitées à 18 m.
 
Enfin, lorsque nous consultons le dossier d'enquête publique du PLU, qui se trouve dans les locaux de la Direction de l'Urbanisme, au 3 rue Emile Cossonneau, nous constatons sur la ZAC des Bas Heurts, la présence d'une zone UBa1 qui autorise une hauteur de façade de 18 m + 4 m maximum. Soit, 22 m. C'est à dire 6 niveaux + comble, ou encore R+5+comble. En outre, la mise en application du PLU, serait prévue dans le courant du second semestre 2007.
 
Vous comprendrez que ce n'est pas le même film ! D'une enquête à l'autre, par un savant jeu de passe-passe, nous passerions allègrement d'un R+4+comble initial, à un éventuel R+5+comble ? Gageons dès maintenant que ces possibilités seront pleinement exploitées par les promoteurs ! Rentabilité, marge nette, bénéfice,…..
 
Sachant que l'établissement du dossier de réalisation de la ZAC sur ces bases, avec des plans d'architectes, n'interviendrait éventuellement qu'après l'arrêté préfectoral d'Utilité Publique, C'est maintenant qu'il faut obligatoirement dénoncer cet abus, après il sera trop tard.
 
 
En conséquence, spécialement sur le registre de mise en conformité du POS sur les Bas Heurts, qui se trouve au 36 rue de la république, votre message doit être très clair, du type :
 
Mise en conformité du POS sur les Bas Heurts
-Une densification inacceptable-
 
Monsieur le Président,  
Dans cette nouvelle zone UJ, nous refusons une hauteur de façade de 18 m. Nous sollicitons une diversification et une combinaison des typologies résidentielles, du petit immeuble collectif R+2 / R+3 maximum, à la maison particulière isolée en passant par l'habitat intermédiaire, l'individuel groupé en bande ou en nappe, ou la maison jumelée,…
 
Par ailleurs, nous vous informons que la consultation du dossier d'enquête sue le Plan Local d'Urbanisme, nous indique la création sur ce même secteur des Bas Heurts, d'une zone UBa1, autorisant une hauteur de façade de 18 m+4 m maximum, soit 22 m ou R+5+comble.
 
Comment pourra-t-on admettre une telle hétérogénéité dans les futurs documents d'urbanisme?
 
 
La méthode la plus efficace est de consigner votre message directement sur le registre, mais vous pouvez aussi très rapidement, écrire au Président de la Commission d'Enquête, Préfecture de la Seine Saint Denis, Direction de l'Aménagement, bureau des affaires foncières, 1 Esplanade Jean Moulin, 93007 Bobigny Cedex.
______
 
Plan Local d'Urbanisme
____
 
Enfin, pour encore mieux enfumer les neurones des Noiséens, se déroule conjointement l'Enquête Publique portant sur le Plan Local d'Urbanisme (PLU) du 9 janvier au 13 février 2007. Vous pouvez consulter les dossiers à la Direction de l'Urbanisme, 3, avenue Emile Cossonneau, aux heures d'ouvertures.
Vous pouvez également adresser un courrier à un autre Commissaire Enquêteur, Hôtel de Ville, BP 49, Révision du PLU, 93161 - Noisy le Grand Cedex.
 
En conséquence, il est impératif de déposer un message du type ci dessous, sur le registre relatif à l'Enquête Publique sur le PLU.
 
PLAN LOCAL D'URBANISME
-Une densification inacceptable sur les Bas Heurts
_______
 
 
Monsieur le commissaire Enquêteur,
 
La consultation du dossier d'enquête sur le "Plan Local d'Urbanisme", nous indique la création sur le secteur des Bas Heurts, d'une zone UBa1, autorisant une hauteur de façade de 18 m+4 m maximum, soit 22 m ou R+5+comble (la seule sur Noisy le Grand).
 
Dans cette nouvelle zone UBa1, nous refusons une hauteur de façade de 18 m + 4 m. Nous sollicitons une diversification et une combinaison des typologies résidentielles, du petit immeuble collectif R+2 / R+3 maximum, à la maison particulière isolée en passant par l'habitat intermédiaire, l'individuel groupé en bande ou en nappe, ou la maison jumelée,…
 
Par ailleurs, nous vous informons que la consultation actuelle du dossier d'Enquête Publique relatif à la mise en conformité du POS, sur les Bas Heurts, mentionne la substitution d'une nouvelle zone UJ aux zones UG et UB actuelles, dont les hauteurs maximales des façades seront limitées à 18 m.
 
Comment pourra-t-on admettre une telle hétérogénéité dans les futurs documents d'urbanisme?
 
En résumé :
 
A « La Fabrique », au 36, rue de la République :
3 registres concernant l’Enquête publique sur les Bas-Heurts :
  • - La Déclaration d’Utilité Publique sur lequel vous donnez votre avis sur le projet du « Clos aux biches »
  • - Le changement de POS qui permettrait de construire des immeubles de 5 niveaux + combles, et sur lequel nous devons donner un avis négatif.
  • - L’Enquête parcellaire qui ne concerne que les habitants des Bas-Heurts

À la Direction de l’Urbanisme  au 3, av Cossonneau, près de la Poste Principale:

 1 registre sur le Plan Local d’Urbanisme (PLU) qui concerne toute la ville et qui prévoit sur les Bas Heurts une zone UBa1, pour laquelle nous devons aussi donner un avis négatif.



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L'abécédaire des Bas-Heurts

Publié le par adihbhv

 
 
 

Voici de A à Z quelques raisons de ne pas approuver le projet municipal de la ZAC du "Clos aux biches" qui remplacerait le quartier des Bas-Heurts...

A
ssainissement à refaire en totalité
Bureaux inoccupés (plus de 10 000 m2, ça pourrait en faire des logements!)
Circulation de plus en plus difficile, Concertation inexistante 
Densification abusive
Expropriation : pour utilité publique et non pour intérêts particuliers
Financement des équipements indéterminé (ex : expropriation autour de la mairie pour extention, pas de budget !)
Gigantisme du projet complètement disproportionné, Ghetto relooké
Habitat social, déjà possible sur les terrains préemptés
Insécurité potentiellement accrue dans un quartier calme jusqu'à présent
Jardins sacrifiés : ils sont de simples souvenirs sur carte postale pour certains.
Képis : en nombre d’ores et déjà insuffisants pour M. le Maire.
Logement social : attribué à qui ? Sur quels critères ? Par qui? 
Mixité sociale, menacée par le projet Pajon qui de fait exclurait les personnes âgées...
Nos maisons menacées aujourd’hui, les vôtres demain !
Originalité du projet alternatif qui concilie nouveaux logements, authenticité du quartier, solidarité
Personnes âgées traumatisées par la menace de quitter leur foyer
Quartier défiguré par ce projet, en rupture avec l'environnement immédiat
Ruissellement assuré des eaux pluviales : béton omniprésent dans ce projet
Spéculation sur les 70% de logements non aidés
Tissu urbain rompu
Urbanisme : il vise à aménager une zone pour l'urbaniser, non à  raser pour concentrer
Ville humaine, aspiration des noiséens opposés à un projet technocratique sans âme
Wagons de RER déjà saturés, alors avec 4500 habitants de plus...
Xylophage : qui s'attaque au bois... ça ne vous rappelle rien ?
Yuppie : jeune cadre urbain aisé, c'est la population dont rêve M Pajon (cf centre-ville)
Zone: mot qui désormais doit susciter la peur ici et ne doit pas rimer avec Noisy.
 
 



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