Pourquoi devenir Voisin vigilant ?
DEVENEZ VOISIN VIGILANT
ET SOLIDAIRE
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Informez et soyez informés de tout événement suspect.
Restez connecté à la vie de votre quartier avec un simple téléphone portable.
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ASSOCIATION DE DEFENSE DES INTERETS DES HABITANTS DES BAS HEURTS - LA VARENNE 8 rue Pierre Brossolette 93160 Noisy-le-grand
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INAUGURATION DU PARC
LOUIS ANTOINE
DE BOUGAINVILLE.
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Retour en image sur l’inauguration du Parc Louis Antoine de Bougainville le samedi 09 février 2019, par Brigitte MARSIGNY, Maire de Noisy-le-Grand.
Ce magnifique Parc de 2 ha assure la liaison sur le quartier de Maille Horizon Nord, entre les Espaces d’Abraxas et le quartier des Bas-Heurts, à l’Ouest de Noisy-le-Grand.
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MICHEL PAJON
LANCE SA CAMPAGNE
ÉLECTORALE...DE CANIVEAU…
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Faut-il en rire ou en pleurer lorsque Michel PAJON tente de se réapproprier le pouvoir à coups de mentons, en lançant sa campagne électorale 2020 lors du Conseil municipal de ce jeudi 31 janvier 2019 ?
Et il n’y va pas avec le dos de la cuillère Michel P, tel la blanche colombe qu’il n’est pas lorsque l’on connaît le personnage depuis 1995. Il s’en est pris violemment à Madame le Maire Brigitte MARSIGNY en lui demandant de lui fournir l’ensemble des documents officiels lui permettant de prendre connaissance des conditions de vente qui ont été pratiquées sur la totalité des cessions opérées par la ville et par la SOCAREN depuis 2015.Rien que ça…
À l’ADIHBH-V nous connaissons bien ces formalités puisque nous les pratiquons de temps en temps. Mais nous les manions au fil de l’eau, avec élégance, en indiquant chaque fois, sur un formulaire adapté, un numéro de Permis de construire (PC) pour simplifier le travail de l’administration municipale.
Pour la petite histoire, signalons qu’au sujet du PC n° PC 093051 11 CO114 délivré le 16 février 2012, relatif à la construction d’un des pavillons de Michel PAJON, le sympathique Directeur de l’Urbanisme de l’époque, avait planqué les dossiers consultables dans son vestiaire, avec ordre de lui indiquer si le Président de l’ADIHBH-V demandait à les consulter. Malheureusement, et à son grand désarroi, Alain Cassé n’a jamais rien consulté car il n’en avait rien à ‘cirer’ du pavillon de l’édile. Mais aujourd’hui, à la réflexion pourquoi pas, puisque le chantier est stoppé depuis des années. Y aurait-il un vice de construction, ou bien son propriétaire serait-il en cessation de paiement, sachant qu’il doit provisionner 40.000 € pour solder son éventuelle future condamnation ?
Alors que Michel PAJON infuse sa revanche depuis 3 ans, le jeudi 31 janvier 2019, il déverse son venin en pleine période de soldes. Dans sa déclaration haineuse il fait à Brigitte MARSIGNY un procès en sorcellerie en déchargeant d’un seul coup tout son bric-à-brac hétéroclite depuis 2015, c'est-à-dire à la fois, la Mairie, la SOCAREN, les Promoteurs, les Agents immobiliers, des propriétaires et consorts…Il faut dire, pour les avoir abondamment pratiqués, que ce sont des acteurs que Michel PAJON connaît bien, après 20 ans de règne sur la Ville. Ce n’est pas sérieux.
C’est d’autant plus maladroit que toutes les sessions font l’objet de jurys avec de vraies mises en concurrence, et que les comptes rendus sont soumis en Conseil municipal. Mais pour cela, il faut se ‘taper’ une fois par mois les 600 pages de délibérations. En un seul mot, il faut travailler les dossiers. Et là, seulement après, il est légitime de poser des questions en séance !….
Finalement cette grossière manœuvre politicienne en Conseil municipal est inacceptable de la part de Michel PAJON qui a été cité dans une affaire pour « prise illégale d’intérêt » dans une affaire immobilière et condamné le 26 octobre 2018 à 40.000 € d’amende, sachant que le parquet avait requis 10 mois avec sursis. Aujourd’hui, Michel PAJON a relevé appel de cette décision du TGI de Bobigny, en espérant passer au travers des mailles du filet avant les prochaines élections municipales ? Nous pouvons en douter.
Alors, bien évidemment, sans jamais apporter de noms et d’affaires précises, il est bien plus simple de jeter la suspicion sur la nouvelle édile qui l’a dégagé de la Mairie en septembre 2015. Mais si Michel PAJON arrive encore à illusionner les nouveaux habitants de Noisy-le-Grand en déshérences socialistes, il ne trompera pas les anciens qui ont été victimes de ses turpitudes pendant 20 ans. À ce sujet il n’est pas déraisonnable de rafraichir la mémoire des noiséens en reprenant quelques cas de figures caractéristiques publiables, à savoir :
- Sur la CADA (Commission d’Accès aux Documents Administratifs). Sous la gouvernance de Michel PAJON, en 11 ans, l’ADIHBH-V a sollicité la CADA 15 fois afin d’obtenir des documents administratifs. Pour seul exemple, notre demande du 12/03/2013 (cliquer sur courrier ADIHBH-V) relative au sondage IPSOS de décembre 2012 réalisé sur la Ville. Le 25 avril 2013 la CADA (cliquer sur réponse CADA) informe qu’il s’agit d’un document administratif communicable dans son intégralité. Cinq ans après, nous attendons toujours. Idem pour un sondage SOFRES de décembre 2005.
- Sur les Permis de construire : Par un arrêté du 30 janvier 2015, Michel PAJON délivre à la Société MONTOIT IMMOBILIER un Permis de construire pour un ensemble immobilier composé de trois bâtiments comprenant un total de 206 logements. Dans sa décision du 16 novembre 2016 (n° 1505832) le Tribunal Administratif de Montreuil annule l’arrêté en question pour méconnaissance des Articles UB 7, UB 8 et UB 10 du Règlement général du PLU, et condamne la Commune de Noisy-le-Grand et MONTOIT IMMOBILIER à 750 € en application des dispositions de l’Article L.761-1 du Code de la justice administrative.
- Sur les préemptions-spoliations de la ZAC du Clos aux Biches :
¬ Parcelle AW 637 pour 884 m²,
¬ DIA vendeur : 420.000 €
France domaine le 24/04/2009 : 420.000 €,
Offre SOCAREN, Président M PAJON :345.000 €,
Accord du vendeur pour 345.000 €,
Spoliation de 75.000 €.
¬ Parcelle AW 510 pour 1.000 m²
DIA vendeur : 650.000 €,
1ere proposition France domaine :599.000 €,
1ere offre SOCAREN, Président Michel PAJON : 460.000 €,
2ieme proposition France domaine : 625.000 €,
2ieme offre SOCAREN : 480.000 €,
Recours devant le TGI de Bobigny. Prix TGI : 637.000 €,
Cour d’appel de Paris : 635.000 €
À ce prix, de concert, l’EPF-IdF et la Mairie refusent d’acheter.
Finalement, malade et dépressive, la propriétaire lâche l’affaire pour 565.000 €,
Spoliation de 70.000 €.
¬ Par contre, en novembre 2004, lorsqu’il s’agissait de vendeurs ayant l’oreille de Michel PAJON, nous connaissons rue des Aulnettes des prix d’acquisition de la Mairie supérieur de 10% à l’estimation France domaine (mais c’est légal).
- Sur le couple SOCAREN-JVD. Jules Verne Développement était une SARL unipersonnelle de trois salariés, constituée le 04 mai 1990, et dont le Gérant était le célèbre Jean Jacques DREAN. À partir de 1995, la SOCAREN (Président Michel PAJON) étant une coquille vide, c’était JVD qui jouait le rôle de « porte flingue » de la Mairie dans le cadre des aménagements sur la Ville (Exemple : La ZAC du Clos-Saint-Vincent), et donc Jean Jacques DREAN à la manœuvre.
JVD a frappé le 6 passage des Aulnettes en démolissant un pavillon la veille de la Fête des Cerises de l’ADIHBH-V. La SOCAREN fut condamnée par le TGI de Bobigny pour démolition fantaisiste.
Ainsi, à l’occasion d’une Convention de Prestation de Service conclue le 16 juin 2005 entre la SOCAREN et JVD, la SOCAREN a versé le 15 mars 2010 à JVD la somme de 100.000 € HT d’argent public, au titre d’indemnité de résiliation anticipée.
Cette subtilité, découverte par l’ADIHBH-V, figurait bien dans le rapport annuel de la SOCAREN, mais fut totalement occultée dans les délibérations du Conseil municipal par le Maire, alors que des Conseillers municipaux, comme Serge EPINARD, siégeaient au Conseil d’Administration de la SOCAREN.
En conclusion, nous verrons bien quelles seront les suites politiques de ces suspicions. Mais nous aussi à l’ADIHBH-V nous étions le réceptacle en son temps d’informations dans notre boite aux lettres mentionnant d’éventuelles affaires sous l’ancien régime. Mais dépositaire d’une certaine éthique, nous n’avons jamais pris le temps de vérifier le bien-fondé ou non, de ces manœuvres ! Et pourtant……
Ceci étant, la question orale de Michel PAJON en ce jeudi 31 janvier ne présente aucun intérêt. Elle est uniquement revancharde et suspicieuse, exprimée par un homme politique évanescent qui devrait se poser sérieusement la question de savoir s’il a encore sa place dans le champ politique Noiséen. C’est un homme revêche qui va de désillusion en échec, c’est pathétique….
Alain Cassé
Président de l’ADIHBH-V
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Extrait non exhaustif, de la question orale posée par Michel PAJON lors de la préparation du Conseil municipal du jeudi 31/01/2019.
Ce document fut distribué par Michel PAJON avant le Conseil municipal à quelques oreilles bienveillantes ou journalistiques. Il y mentionne qu’il saisira la CADA sous 15 jours si Madame le Maire ne donne pas une suite favorable et rapide à l’ensemble de ses sollicitations. Cette intimidation ne figurerait pas dans la version officielle adressée par Michel MIERSMAN pour le Groupe des élus « Rassemblement avec Michel PAJON + que jamais » ? Manifestement Michel PAJON gonfle ses muscles à posteriori.
Cliquer sur : Question orale de MP
Réponse de Brigitte MARSIGNY en fin de séance
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POUR LE PROLONGEMENT
DES LIGNES DE MÉTRO 11 et 16
JUSQU'À NOISY-CHAMPS
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Habitant-e-s de Noisy-le-Grand, nous exigeons le prolongement de la ligne 11 de Rosny-Bois-Perrier à Noisy-Champs et celui de la ligne 16 jusqu'à Noisy-Champs en 2024 comme prévu initialement, parce-que :
• Le RER A est saturé. Nous ne sommes jamais assurés d'arriver à l'heure sur notre lieu de travail.
• Des milliers de logements sont en construction. De nouveaux transports en commun sont nécessaires pour ne pas saturer plus les routes et transports en commun existants.
• Le rail est le transport le moins polluant. Nous refusons que notre santé soit sacrifiée pour des raisons budgétaires.
• L'université de Marne La Vallée doit être accessible facilement aux étudiants de notre département.
• Le choix du transport collectif est un facteur important de développement économique. Or aujourd'hui les entreprises quittent Noisy-le-Grand pour des pôles plus attractifs... Nous refusons que notre territoire soit abandonné.
Pour signer la pétition, cliquez Ici ou recopiez le lien ci dessous
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LE PARQUET
NATIONAL FINANCIER
SE PENCHE
SUR LES MARCHÉS
DE LA
SOCIÉTÉ DU GRAND PARIS
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La Cour des comptes avait dénoncé en janvier 2018 des dérapages financiers, déplorant "une rigueur insuffisante dans la gestion des marchés". La Société du Grand Paris, maître d'ouvrage du Grand Paris Express, dit avoir appris l'ouverture de cette enquête préliminaire par voie de presse.
Déjà confrontée aux difficultés techniques ou de calendrier de mise en service du Grand Paris Express, son maître d'ouvrage, la Société du Grand Paris (SGP) doit faire face à un nouveau front avec une enquête judiciaire portant sur ses marchés, épinglés il y a un an par la Cour des Comptes.
Comme l'a dévoilé l'hebdomadaire Marianne, une enquête préliminaire a été lancée par le parquet national financier (PNF) après un signalement de la Cour des comptes visant la SGP.
La SGP a réagi ce jeudi 24 janvier 2018, via un communiqué diffusé peu après midi. " La société du Grand Paris a appris par voie de presse l'ouverture d'une enquête préliminaire du parquet national financier. Si cette information devait être confirmée, la Société du Grand Paris mettrait évidemment à disposition des enquêteurs les éléments demandés avec l’exigence de faciliter le bon déroulement de cette procédure", indique-t-elle, précisant aussi que "dans un message adressé aux collaborateurs, le président du directoire de la Société du Grand Paris [Thierry Dallard, ndlr] a renouvelé sa confiance aux équipes plus que jamais engagées dans la réalisation du Grand Paris Express."
Dans un rapport rendu public le 17 janvier 2018, la Cour des comptes avait dressé un diagnostic sévère sur les dérapages financiers du projet pharaonique, en déplorant aussi "une rigueur insuffisante dans la gestion des marchés".
Outre des "coûts prévisionnels" qui "n'ont cessé de dériver", passant de 20 à 38 milliards d'euros, les gendarmes des deniers publics avaient également épinglé des "procédures de passation de marchés inégalement respectées", "parfois contournées", nourrissant des suspicions de favoritisme.
La réaction d’Anticor
Ainsi, la Cour a "identifié des marchés pour lesquels les procédures et les grands principes de mise en concurrence n'avaient pas été respectés, soit en attribuant un marché à une entreprise dont l'offre aurait dû être rejetée pour irrecevabilité, soit en modifiant en cours de procédure les modalités de calcul des offres financières ce qui a eu pour effet de modifier l'ordre de sélection des candidats", selon son rapport.
Ces soupçons ont conduit l'association anticorruption Anticor à saisir la justice le 12 juin 2018 mais elle n'avait pas donné suite à sa demande d'ouverture d'enquête, dans l'attente d'éventuels éléments complémentaires" et d'un signalement de la Cour des comptes, selon les extraits d'un courrier du parquet national financier (PNF) publié sur le site d'Anticor.
13 milliards de dérapage
Par la suite, Anticor avait écrit le 15 novembre 2018 à la Cour des comptes pour lui demander de transmettre un signalement au PNF. "Nous sommes très satisfaits que cette enquête soit ouverte sur cette affaire hors-norme qui porte sur un budget total de plus de 38 milliards d'euros dont 13 milliards de dérapages et avec 164 marchés publics passés sans aucune mise en concurrence", a réagi auprès de l'AFP le président d'Anticor, Jean-Christophe Picard.
Quatre nouvelles lignes de métro automatique, numérotées de 15 à 18, ainsi que des prolongements de la ligne 14.... Initialement estimé à 20 milliards d'euros, le projet-monstre avait déjà été réévalué à 35 milliards en 2017, retardant la construction de plusieurs lignes.
Au final, les estimations de départ se sont révélées "fragiles" et le coût total du Grand Paris Express pourrait s'envoler à 35,08 milliards d'euros voire même 38,48 milliards d'euros, en y ajoutant les "contributions financières" de la SGP à d'autres projets franciliens de transport, selon la Cour des Comptes.
Dans cette fourchette très haute, la facture présenterait alors un surcoût de 12,46 milliards par rapport à l'objectif fixé par le gouvernement en mars 2013.
Délais
Les délais de construction du réseau de quelque 200 km, imposés par l'échéance des jeux Olympiques de Paris 2024 ont aussi fait gonfler la facture alors que le projet prévoyait initialement une mise en service étalée entre 2020 et 2030. La Cour des comptes décrivait "une volonté coûteuse et très risquée de resserrer le calendrier".
Depuis sa création en 2010 et jusqu'au 31 décembre 2016, la SGP a passé près de 770 marchés, soit un rythme de passation de plus de 100 marchés par an, précisait notamment la Cour des comptes dans son rapport.
Avis de l’ADIHBH-V
De suspicions de favoritismes en passations de marchés bidouillés, il semblerait bien que quelque chose ne tourne pas rond dans cette Société du Grand Paris, car les financements seraient possibles ? Et pendant ce temps, les collectivités locales et les populations sont lésées comme par exemple l’interopérabilité des lignes 15 Sud et 15 Est à Champigny-sur-Marne toujours en suspens ainsi que le prolongement des lignes 11 (RATP) et 1, à Noisy-Champs.
On se moque de qui ?
Référence bibliographique : Le MONITEUR.fr avec AFP le 24/01/2019
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