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33 articles avec articles de journaux

Une structure d'accompagnement des détenus vers la sortie à Noisy-le-Grand

Publié le par ADIHBH-V

UNE STRUCTURE

D’ACCOMPAGNEMENT

VERS LA SORTIE DES DÉTENUS,

À NOISY-LE-GRAND.
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Illustration : Agence Champenois Architectes


Une « Structure d'Accompagnement vers la Sortie » (SAS) comporte un régime essentiellement orienté vers la réinsertion sociale et la préparation à la sortie des personnes condamnées.

Les personnes condamnées faisant l'objet d'une mesure de semi-liberté sont détenues soit dans des centres de semi-liberté ou des quartiers de semi-liberté, soit dans des Structures d'Accompagnement vers la Sortie.

Les personnes condamnées faisant l'objet d'une mesure de placement à l'extérieur dans les conditions fixées par les dispositions de l'article D. 136 du Code de Procédure Pénale, peuvent également être détenues dans ces établissements.

Les « Structures d’Accompagnement à la Sortie » (SAS) prévoient d’offrir aux personnes détenues (personnes condamnées dont le reliquat de peine leur restant à exécuter est inférieur à deux ans) les plus en difficulté un accompagnement soutenu vers la sortie.
Sur les 25 structures programmées, cinq sont aujourd’hui en activité.
Si elles répondent toutes à la même philosophie générale, des différences de fonctionnement peuvent s’observer d’un lieu à l’autre. Et déjà, quelques écueils apparaissent.

Ce dispositif pénitentiaire imaginé par Christiane TAUBIRA , Ministre de la justice de 2012 à 2016 , puis repris par Nicole BELLOUBET en 2018 lorsqu’elle présente son  « plan prisons », annonce la création de « Structures d’Accompagnement vers la Sortie ».

Elle prévoit pour ce faire d’ouvrir 2000 nouvelles places dans des bâtiments construits ad hoc, et de reconvertir 500 places d’actuels quartiers de détention.
Début 2022, seules quatre de ces SAS avaient ouvert leurs portes : à Marseille (13), Poitiers (86), Longuenesse (62) et Bordeaux (33).
Depuis la fin du troisième trimestre 2024, une dernière structure a été construite sur le Campus Universitaire DESCARTES à Noisy-le-Grand (93), en limite de Champs-sur-Marne.

120 détenus de la prison de Villepinte ont pu rejoindre cette structure.
Ainsi, la Maire (LR) de Noisy-le-Grand Brigitte MARSIGNY a dû accueillir cette SAS contrainte et forcée, mentionnant dans le PARISIEN du 19 Mai 2022 : « c’est le Club Med de MARRAKECH ». Avant tout destinées aux personnes sans projet de sortie et éloignées des structures d’insertion, la SAS vise à les autonomiser et à préparer leur réinsertion par le biais d’un accompagnement pluridisciplinaire soutenu.

L’obtention de permissions de sortir y est en théorie facilitée, dans l’optique de renforcer les liens entre le dedans et le dehors. La doctrine fixant ces principes a été finalisée en décembre 2021, plusieurs mois, voire années, après l’ouverture des premières SAS.

En attendant, chaque structure a élaboré ses propres principes. Si la philosophie reste globalement la même d’un lieu à l’autre, des différences s’observent néanmoins entre les SAS, tant sur la sélection des personnes détenues que sur le régime des permissions de sortir.
Le repérage et l’orientation de ces profils compliqués incombe à l’Administration pénitentiaire.

Cette dernière cible volontairement les personnes ayant pu manifester des problèmes de comportement en détention, présentant des facteurs de risque de réitération et nécessitant un accompagnement renforcé et soutenu.

Dans une SAS, on trouve des gens moins investis, moins volontaires, des gens qui ont des incidents en détention, qui passent souvent sous le radar des courtes peines, qui ne demandent jamais d’aménagement et qui ne voient jamais leur Conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation.

L’emplacement géographique des SAS est un enjeu de taille.
C’était en effet une des promesses des SAS, décrites en 2018 comme des immeubles qui s’insèrent parfaitement dans une architecture urbaine.

Cependant, force est de constater que certaines d’entre elles, qu’elles soient ouvertes ou en cours de rénovation restent pour la plupart excentrés des villes.

Ainsi, l’emplacement peut poser des difficultés, surtout pour un public pour qui la mobilité peut être un problème pointe un magistrat.

En effet, si certaines démarches administratives peuvent être faites dans n’importe quelle ville, les recherches de logement, de formation, de soins, sont quant à elles censées être réalisées dans le futur bassin de vie de la personne.

Située à dix minutes à pied de la Gare RER de NOISY-CHAMPS, la SAS de Noisy-le-Grand est très accessible.

Consulter l’Article du MONITEUR « Établissement pénitentiaire. Desserrer la vie en rose » n° 6343 – Février 2025
Cliquer ici

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Contribution bibliographique : Le MONITEUR n° 6343 du 18 février 2025, page 38

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Des nouvelles du Grand Paris Express

Publié le par ADIHBH-V

GRAND PARIS EXPRESS :

L’OUVERTURE DE LA LIGNE 15 SUD

DÉCALÉE DE DÉCEMBRE 2025

À L’ÉTÉ 2026
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Gare de Noisy - Champs
 

L'ouverture du tronçon Sud de la ligne 15 du Grand Paris Express, initialement prévue en décembre 2025, va être décalée à l'été 2026 en raison de retards pris dans la conduite des essais, a indiqué ce jeudi la Société des Grands Projets (SGP). Le coût de cette ligne de 33 km, qui s'étendra de Pont de Sèvres à Noisy-Champs au travers de 22 communes des Hauts-de-Seine, du Val-de-Marne et de la Seine-Saint-Denis, reste en revanche inchangé, à 8 milliards d'euros, selon la SGP.

Il faut rappeler l’extrême complexité du Grand Paris Express, qui tient d’abord à sa taille, a insisté le Président de la SGP, Jean-François Monteils.
Les lignes 15, 16, 17 et 18 formeront 200 km d’un réseau entièrement neuf de métros automatiques d’ici 2031, composé de 68 nouvelles gares réparties dans toute l’Île-de-France, le tout pour 36,1 milliards d’euros, contre une estimation à 22 milliards en 2010.
La ligne 15 Sud, dont le chantier a démarré en mars 2015, est probablement la plus lourde en termes de défis techniques et de coûts, a souligné le Président de la SGP.

De multiples reports.

Son ouverture a été décalée à de multiples reprises.
D’abord attendue pour 2020, l’inauguration a une première fois été repoussée à 2023 avant qu’Édouard Philippe, Premier ministre en 2018, ne fixe la date à 2024. Le Covid et l’interruption des chantiers ont ensuite rajouté un an au calendrier.

La réalisation des essais pour s’assurer de la fiabilité et de la sécurité de ce métro automatique, qui roulera à 110 km/h par endroits, a cette fois-ci engendré du retard. Nous sommes rentrés dans cette phase d’essai relativement récemment, en septembre 2024, au lieu de juillet a indiqué Jean-François Monteils.
Les équipes ont alors découvert des bugs inattendus, "des difficultés qu’on n’avait pas tout à fait anticipé, a-t-il complété", sans rentrer dans les détails. Il a aussi souligné le défi technique du projet et son caractère inédit. Ainsi, les premiers tests sur la ligne 15 Sud ont laissé apparaître des ajustements nécessaires à réaliser sur le logiciel…

Valérie PÉCRESSE s’est dite indignée par l’ampleur des nouveaux retards !!!...

L’annonce de cet énième retard a immédiatement fait réagir la Présidente de la Région et d’Île-de-France Mobilités (IDFM), qui s’est dite choquée de l’ampleur des nouveaux retards annoncés par la SGP pour la livraison de la ligne 15 Sud et de ses conséquences en cascade sur la livraison des autres lignes 16 et 17.

« C’est une très mauvaise nouvelle pour les centaines de milliers d’habitants et travailleurs de la petite couronne qui l’attendent depuis plus de quinze ans», a-t-elle estimé, avant d’annoncer la création d’une mission de contrôle et coordination technique État/Île-de-France Mobilités, de la Société des Grands Projets, avec l’objectif de réduire ces nouveaux retards au maximum.
Par ailleurs, la SGP s’est alors entourée de deux Experts du transport ferroviaire, pour faire un état des lieux objectif de la situation. Ainsi, selon IDFM, ces derniers pointaient des retards bien plus considérables qu’attendus sur la ligne 15 Sud, liés notamment à des retards pris dans les travaux de génie civil ainsi qu’à des défauts de coordination et d’intégration des différentes étapes et contrats industriels.

À ce jour, quel est le calendrier du Grand Paris Express ?

La mise en route du Grand Paris Express va s’étaler jusqu’à 2031
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Contribution bibliographique :
-       Le FIGARO, avec AFP, 21 Janvier 2025
-       Communiqué de presse de la Société des Grands Projets, 18 Février 2025

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Noisy le Grand à l'honneur dans le palmares des collèges et lycées

Publié le par ADIHBH-V

PALMARÈS DES LYCÉES

ET COLLÈGES

EN SEINE-SAINT-DENIS.

NOISY-LE-GRAND À L’HONNEUR
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Lycée International de l’Est Parisien

Collège International de Noisy-le-Grand

À Noisy-le-Grand, Seine-Saint-Denis, trois établissements d’excellences.

Le Collège International, le Lycée International de l’Est Parisien talonné par le Lycée Évariste-Gallois dans l’Ouest Noiséen.

Mention spéciale au Collège International de l’Est Parisien qui se classe 2ème au classement des 30 meilleurs Collèges Public en France (100% de réussite au Brevet, 15/20 de moyenne aux épreuves écrites). Françoise CABRINI, Collège Privé arrive en 19ème position (100% de réussite, 14,8/20 de moyenne au Brevet).

Côté Lycée, Le Lycée International de l’Est Parisien se positionne en 10ème place au classement des 30 meilleurs Lycées Public en France (99% de réussite au Bac, 90% de mentions).

Toutefois, il faut reconnaître que le classement de ces établissements internationaux est un peu biaisé car, bien que publics, ils sélectionnent leurs élèves à l’entrée. Un critère qui, bien sûr, a un impact sur le taux de réussite aux examens. Nous connaissons de bons élèves qui n’ont jamais pu intégrer ces établissements.

Néanmoins, notons la remarquable 2ème position dans ce palmarès en Seine-Saint-Denis du lycée public Évariste-Gallois (94% de réussite au Bac, 63% de mentions, 13,65 /20 de moyen au Bac) qui ne procède à aucune sélection à l’entrée.

Lycée Évariste GALOIS

Une réussite expliquée par « l’investissement de l’équipe éducative : Enseignants, Conseillers Principaux d’Éducation, Assistants, etc…Par ailleurs, la mixité sociale de cet établissement présente un des écarts types d’IPS (Indice de Position Sociale) les plus élevés du 93.

Remarquons que désormais tous les élèves ou presque obtiennent leur Brevet ou leur Bac.

En 2023, le taux de réussite au Bac général s’élevait à 90,9% (dont 67% de mentions). Quand celui du Brevet atteignait les 89,1% (dont 82% de mentions). Le choix d’un Collège ou d’un Lysée n’a donc plus la même importance qu’autrefois puisque la très grande majorité des établissements garantit l’obtention de ces sésames.

Face au grand bidouillage des résultats aux examens, faut-il prendre ces notes pour argent comptant sachant qu’il existe des « correctifs académiques » depuis 2019 à la main des Recteurs qui ont pour but de gonfler les notes.

Il s’agit d’une pratique bien connue mais jamais vraiment chiffrée. (Le FIGARO du 22 mars 2024). Exemples, un taux de réussite au Brevet gonflé de presque 6 points dans l’Académie de Créteil, de 5 points à Nice et Versailles, etc…

L’idée directrice de cette méthodologie serait de ne pas porter la honte sur certains territoires, estime un bon connaisseur du système. C’est toujours la même histoire : vous avez de la température, alors changez de thermomètre.

Ceci dit, l’éphémère Ministre de l’Éducation Nationale, Gabriel ATTAL voulait mettre fin à cette pratique, confirmée le 14 mars dernier pour la session 2024 du Brevet. Il assumait donc que le taux de réussite au Brevet allait diminuer. Une décision qui ne sera pas sans conséquence car, à compter de 2025, le Brevet sera obligatoire pour entrer en seconde. Dans la négative, les recalés devront intégrer une « Prépa seconde » (jadis nous parlions de redoublement !).

Aujourd’hui qu’elle sera la décision de Nicole BELLOUBET, sachant qu’elle rétropédale déjà sur les « classes de niveaux » de Gabriel ATTAL.

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Contribution bibliographique :
-        Le PARISIEN 93 : Hélène HAUS – Le PARISIEN 94 : Gérard MORUZZI – 20 mars 2024,
-        Le FIGARO : Jeanne PATURAUD et Valentin AUTIE – 20 mars 2024,
-        Le FIGARO : Caroline BEYER – 22 mars 2024

 

Publication le PARISIEN 93 – 20 mars 2024

Publication le PARISIEN 94 – 20 mars 2024

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De nouveaux lieux de recharge de véhicules électriques à Noisy-le-Grand

Publié le par ADIHBH-V

Mc DONALD’S S’ENGAGE

DANS LA RECHARGE

DES VÉHICULES ÉLECTRIQUES

À NOISY-LE-GRAND.
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Mc DONALD’S – 2 rue du Fort – 93160 Noisy-le-Grand

Désormais, les voitures électriques ont aussi leur fast-food. McDonald’s et Izivia, une filiale d’EDF, dévoilent mardi 21 novembre 2023 un nouveau réseau dédié à la recharge des véhicules à batterie : Izivia Fast. D’ici à 2025, 2000 points de charge ultrarapides seront installés sur les 700 parkings du géant américain de la restauration rapide en France. Le déploiement a déjà commencé, marqué par l’inauguration d’une station de recharge chez Mc DONALD’S, 2 rue du Fort à Noisy-le-Grand mardi 21 novembre.

L’idée est d’offrir aux consommateurs la possibilité de recharger en une vingtaine de minutes 80 % de la batterie. Pour tenir cette promesse, Izivia dotera les parkings de Mc Donald’s de points de charge ultrarapides, 150 kilowatts (kW), quand les bornes de recharge à domicile affichent une puissance généralement comprise entre 3,7 et 22 kW.


Rapidité et accessibilité seront au menu, avec un tarif autour de 35 centimes du kilowattheure (kWh), soit environ 5 à 6 euros pour 100 kilomètres d’autonomie.

En effet, les recharges accessibles au grand public sont généralement plus onéreuses que celles effectuées à domicile, dont le coût est estimé à 2 ou 3 euros pour 100 kilomètres.

Il faut généralement débourser deux fois plus pour une recharge standard effectuée à l’extérieur (dans la rue, sur un parking public…) et 10 à 12 euros pour une rapide. Enfin, Izivia Fast sera alimenté par de l’électricité verte (éolienne, photovoltaïque, hydraulique) afin de garantir le taux de CO2 le plus faible possible.

L’enseigne n’est d’ailleurs pas la seule à proposer des points de charge à ses clients. Carrefour s’est ainsi fixé pour objectif de proposer 5000 points de charge à ses clients d’ici à 2025. La chaîne hôtelière B&B installe 300 bornes sur ses parkings, avec Engie, proposant un choix de recharge lente, adaptée à ceux qui passent la nuit à l’hôtel, ou rapide, plus pour une clientèle de passage.

Dans la plupart des cas, l’utilisateur paye l’électricité consommée, comme pour faire un plein d’essence. L’essentiel est de proposer le service pour répondre à un besoin nouveau, lié au développement des ventes de voitures électriques.

En octobre 2023, elles ont représenté 17 % des achats de véhicules neufs en France.

Cette transition pousse aussi les stations-services à revoir leur offre.
Total Energies, propriétaire du plus grand réseau en France, s’attelle à suivre, voire anticiper, cette mutation. Le groupe a équipé 190 de ses stations en France et en vise 500 à l’horizon 2026.
Le service à la clientèle et la volonté de contribuer à la transition écologique ne sont toutefois pas les seules motivations du développement de ce service. La loi d’orientation des mobilités (LOM) impose notamment aux entreprises d’installer au moins un point de recharge dès lors qu’elles disposent de plus de 20 places de parking, couvertes ou non, avant le 1er janvier 2025.

Ce chiffre s’inscrit dans un objectif plus large fixé par le gouvernement ; disposer de 400.000 bornes accessibles au public d’ici à 2030, contre près de 110.000 aujourd’hui.

Des points de recharge publics situés aussi bien sur des parkings que dans des rues. Les collectivités territoriales se sont aussi emparées du sujet, à l’image de Paris, dont les 2100 stations de recharge Belib’ dans 425 stations sont gérées par Total Energies.

Néanmoins, la plupart des recharges se font au domicile de l’automobiliste, qu’il réside en maison individuelle ou dans une copropriété. Là aussi, le développement bat son plein, notamment dans le collectif, où les freins ont longtemps été nombreux.

Seuls 2 % des copropriétés seraient équipées en bornes électriques, selon Enedis, le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité. Installer une borne dans une maison est relativement simple.
C’est plus compliqué dans le collectif, concède le Directeur adjoint au département Infrastructures et Mobilité à la Banque des territoires (CDC). Pour caricaturer, la copropriété n’a pas envie de payer pour recharger la Tesla d’un des résidents. Et le propriétaire de la Tesla ne veut pas payer seul l’installation d’un tel équipement pour tout l’immeuble.

Ces freins sont en train d’être levés. Les aides à l’achat de bornes électriques sont désormais bien calibrées, jusqu’à 960 euros hors taxe par borne achetée via le dispositif d’État Advenir.
Une dizaine d’opérateurs Zeplug, Waat, Beev proposent aujourd’hui des solutions clé en main via des abonnements.

Et l’État prend sa part puisque la Caisse des dépôts finance les coûteuses installations électriques nécessaires à l’alimentation des bornes, et noue des partenariats avec les opérateurs dont il perçoit une part des abonnements.

Résultat, une fois la convention signée avec un opérateur qui se charge de tout ; aides financières, et négociations avec le fournisseur d’électricité, la copropriété n’a rien à débourser.

Tout n’est pas rose pour autant. Cette décision doit faire l’objet d’un vote en Assemblée Générale (AG). Or elle ne se réunit en principe qu’une fois par an. Et les copropriétaires peuvent voter contre, obligeant les utilisateurs de voiture électrique à se débrouiller.

À l’inverse, si l’opération est validée par l’AG, les délais de mise en œuvre peuvent être longs. Enedis ou d’autres gestionnaires de réseaux électriques peuvent mettre des mois avant d’alimenter la nouvelle installation.

Parfois, certains résidents, lassés des délais d’installation, finissent par se brancher sur le tableau électrique commun. Cela provoque inévitablement des frictions. Ces solutions ne sont en outre pas optimales.
Il faut au moins une trentaine d’heures pour recharger une voiture de cette façon, contre 7 à 8 heures avec une borne électrique en bonne et due forme. D’où, désormais, l’intérêt des copropriétaires pour ces solutions.

Au côté des voitures, les camions électriques sont aussi de plus en plus nombreux. Nous constatons une augmentation du parc et une accélération de la demande, souligne le Directeur général Engie mobilité électrique.

Dès la fin 2024, des stations de charge à 1 mégawatt (MW) devraient commencer à voir le jour, pour répondre aux besoins du transport routier.

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Contribution bibliographique : Le FIGARO, le mardi 21 novembre, Elsa BEMBARRON et Jorge CARASSO.

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Les Bas-Heurts, on en parle dans la presse

Publié le par ADIHBH-V

LES BAS-HEURTS

À NOISY-LE-GRAND :

LA COHABITATION

ENTRE PAVILLONS ET

GRANDS ENSEMBLES

SE DESSINE.

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Située à l’Ouest de Noisy-le-Grand, à la lisière de Bry-sur-Marne, la ZAC des Bas-Heurts commence à sortir de terre, après de longues années de disputes et un compromis pour maintenir la moitié des pavillons historiques. Ce quartier labellisé « Quartier Durable Francilien » donnera ses premières pousses en 2024.

Pour lire la suite de cet article de CITOYENS.COM cliquer sur : https://94.citoyens.com/2023/noisy-le-grand-la-transformation-des-bas-heurts-labellisee-quartier-durable-francilien,25-04-2023.html

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Remerciements : L’ADIHBH-V exprime toute sa gratitude à Cécile DUBOIS, Rédactrice en Chef de Citoyen.com pour nous avoir autorisé à publier cet article moyennant un lien sur le site Citoyens.com. Tous nos remerciements également à Charles HENRY, Journaliste.

Citoyens.com est un quotidien en ligne indépendant consacré à l'actualité du Val-de-Marne, de Seine-Saint-Denis et du Grand Paris. Ni élitiste, ni sensationnel, il propose des reportages et enquêtes sur tous les sujets, politiques, économiques, sociaux, culturels, initiatives citoyennes... pour donner à voir et à comprendre la vie et les problématiques des habitants. Citoyens.com fonctionne par abonnement.

 

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