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Retard prévu pour le prolongement de la ligne 11 arrivant à Noisy-Champs !

Publié le par ADIHBH-V

LA LIGNE 11


DU GRAND PARIS EXPRESS


A DU « PLOMB DANS L’AILE» !
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Retard prévu pour le prolongement de la ligne 11 arrivant à Noisy-Champs !

La production de 7.000 logements sur la Commune de Neuilly-sur-Marne à l’horizon 2030, dont 4.200 logements au sein de la ZAC de Maison Blanche en cours de construction pourraient ne pas être desservis par  le prolongement de la ligne 11 du métro du Grand Paris Express, Rosny-Bois-Perrier _ Noisy-Champs.

Cette question tourmente les Maires des Communes concernées, mais surtout aussi les promoteurs de ce très grand programme immobilier en cours de réalisation. En effet, sur 58,6 hectares, ce nouveau quartier accueillera à termes près de 10.000 nouveaux habitants dans un secteur desservi actuellement par la seule ligne de bus 113 (Nogent-sur-Marne _ Mairie de Chelles).

Or, l’un des arguments forts des promoteurs qui doivent accueillir les premiers habitants en 2020, est bien l’arrivée du métro en 2025. Quatre stations ont été planifiées sur ce prolongement de la ligne 11, à savoir : Villemomble, Val Coteau (Neuilly Fauvette), Neuilly Maison Blanche (Neuilly Hôpitaux) et Noisy-Champs. Ainsi, l’argument « au pied de la future station de métro ligne 11 » devient fallacieux si le prolongement ne se fait pas !

Chez les Agents immobiliers de Neuilly-sur-Marne, tout le monde sait, mais personne ne dit rien, car il ne faut pas effrayer le client. Certains évaluent la baisse des prix de 5 à 8%, sans métro.

Cependant aujourd’hui tous les projets sur le territoire du ‘’Grand Paris Grand Est’’ (*) sont fragilisés soit par leur remise en cause, soit par un risque d’étalement de leur calendrier de réalisation, soit par manque de financement.

À ce sujet, le chiffrage d’aujourd’hui s’élève à 35 milliards d’euros au lieu des 22 milliards initiaux. Dans la réalité, tous les experts savent que le facteur « pi » s’appliquera comme dans tous les grands chantiers, et que le montant final sera de 80/90  milliards d’euros ! C’est bien la raison pour laquelle un début d’hypothèse de re-dimensionnement du réseau initial se présume, puisque une mission d’information est en cours pour revoir les priorités de déploiement du Grand Paris Express. Et oui ! Il va falloir prioritairement s’adapter aux transports parisiens des Jeux Olympiques 2024 !

 

Retard prévu pour le prolongement de la ligne 11 arrivant à Noisy-Champs !

Dans ce cadre, nous savons que le prolongement de la ligne 11 de Rosny-sous-Bois à l’interconnexion de Noisy-Champs, point de convergence avec le RER A  et les lignes 15 Sud et 16, a été enlevé du budget global du GPE de réalisation à un prochain Contrat Plan Etat Région. Ceci veut dire que le désenclavement en métro de Neuilly-sur-Marne et Villemomble attendra….

Par ailleurs, l’examen du PLU de Neuilly-sur-Marne nous annonce que la morphologie actuelle du site de Maison Blanche apparaît comme un lieu fermé sur lui-même, sans lien avec le tissu environnant. Son seul salut vient donc  du bus 113 qui circule sur la  RN 34 et traverse  la Commune d’Est en Ouest.

 

Retard prévu pour le prolongement de la ligne 11 arrivant à Noisy-Champs !

Par contre, une autre question critique se pose à la lecture de ce document d’urbanisme. Une question qui fâche puisque nous ne trouvons aucune allusion aux engorgements aux heures de pointes de la départementale RN 370 qui relie Neuilly-sur-Marne à Noisy-Mont d’Est sur l’axe Nord-Sud. C’est suspect…! Il va falloir consulter l’Etude d’Impact réalisée par le pétitionnaire à l’occasion de la création de la ZAC de Maison Blanche, et présentée préalablement à l’Autorité Environnementale.
 
En effet, il est impossible d’envisager que sur les 10.000 nouveaux habitants de Neuilly-sur-Marne, certains ne viennent pas travailler à Noisy-le-Grand sur le "Pôle Tertiaire de l’Est parisien", en voiture, en l’absence du futur métro qui permettrait un désenclavement. Ainsi, nous constaterons globalement un accroissement phénoménal de la demande de trafic sur cet axe structurant de la RN 370 qui ne permettra pas d’absorber l’accroissement des déplacements liés aux développements urbains de Neuilly-sur-Marne. Nous ne parlerons même pas de l’effet de shunt récurrent Nord-Sud en raison de cette saturation de la route de Neuilly pour rejoindre l’autoroute A4, qui provoque de fortes difficultés de circulation dans  les rues étroites  du quartier de La Varenne à Noisy-le-Grand et de La Garenne à Bry-sur-Marne depuis des années.

En conclusion, sans un maillage de transport efficace et cohérent, aucun essor économique, démographique et urbain ne pourra se développer pleinement dans l’Est parisien. C’est très préoccupant…

Le 17 octobre 2017, le conseil de territoire de ‘Grand Paris Grand Est’ demande à l’État :

♣    De confirmer la réalisation du prolongement de la ligne 11 de Rosny-sous-Bois à Noisy-le-Grand afin qu’il soit réalisé en 2025 comme convenu dans le schéma initial, et qu’il accompagne notamment les projets urbains portés par la Commune de Neuilly-sur-Marne conduisant à la production de plus de 7.000 logements à l’horizon 2030 dont 4.200 logements au sein de la ZAC de Maison Blanche, au risque, à défaut de transport structurant, d’engorger encore davantage les réseaux existants et de paupériser ces secteurs en développement,
♣    De ne pas reporter le calendrier de la ligne 16 dont les travaux préparatoires ont déjà démarré. Un tel report risquerait d’être extrêmement préjudiciable aux populations du territoire, d’autant que d’importants fonds publics ont été investis dans la rénovation urbaine et que plusieurs sites retenus pour ‘’Inventons la Métropole’’ se situent à proximité immédiate des futures gares,
♣    De mieux articuler l’enchaînement des travaux de réalisation de la ligne 15 Est jusqu’à Rosny-sous-Bois avec les travaux du prolongement de la ligne 11 entre Les Lilas et Rosny-sous-Bois, déjà en cours sur la Commune,
♣    De mobiliser les financements du TZEN3 afin que sa réalisation ne soit pas retardée,
♣    De permettre au Sud de la Seine-Saint-Denis d’être partie prenante de la préparation aux Jeux Olympiques 2024, grâce à l’amélioration de sa desserte en transport en commun.

Pour Jacques Mahéas, Maire de Neuilly-sur-Marne :

« Pour Neuilly-sur-Marne, l’enjeu est vital. La ligne 11 représente un formidable levier pour le développement et le désenclavement de notre ville. Avec deux gares, Val Coteau et Neuilly Maison Blanche, le prolongement de cette ligne permettra aux nocéens de rejoindre l’interconnexion de Noisy-Champs, point de convergence du RER A et des lignes 15 Sud et 16 du Grand Paris Express. Les temps de transports plus courts faciliteront les déplacements ainsi que l’accueil d’entreprises nouvelles sur notre territoire ».


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(*) Grand Paris Est Ensemble est un Etablissement Public Territorial composé des communes de Clichy-sous-Bois, Coubron, Gagny, Gournay-sur-Marne, Le Raincy, Les Pavillons-sous-Bois, Livry-Gargan, Montfermeil, Neuilly Plaisance, Neuilly-sur-Marne, Noisy-le-Grand, Rosny-sous-Bois, Vaujours et Villemomble.

Contribution bibliographique :

-    Le PARISIEN , le 22 novembre 2017, Sébastien THOMAS,
-    Mensuel de Neuilly-sur-Marne : NEUILLY NOTRE VILLE, Novembre 2017
-    PLU de Neuilly-sur-Marne.

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Nestlé France quitte Noisiel

Publié le par ADIHBH-V

NESTLÉ FRANCE


LÂCHE SON ILLUSTRE SIÈGE


 DE NOISIEL
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Nestlé France quitte Noisiel

Les rumeurs sur un éventuel départ couraient depuis le début de l’année 2017, Nestlé France ayant évoqué à ses salariés une étude sur le regroupement de ses cinq sièges sociaux. Mi octobre 2017, les dirigeants de Nestlé France assuraient encore qu’un déménagement constituait « l’un des scénarios envisagés », mais que rien n’était encore décidé. Le groupe inaugurait  le 25 octobre 2017 une turbine hydroélectrique de 466 kilowatts, pour un investissement de 3 millions d'euros.


Aujourd'hui répartis sur cinq sites en région parisienne, les 2500 salariés de Nestlé France (épicerie sèche) seront rassemblés pour le 4ème trimestre de 2019 dans un immeuble neuf situé entre Issy-les-Moulineaux et la Porte de Versailles. Richard Girardot, le patron de Nestlé France, l'a annoncé le mardi 14 novembre lors d'un comité de groupe, puis aux salariés lors d'une allocution retransmise sur Facebook.

«Nous allons ainsi créer le premier centre d'expertise agroalimentaire en France, confie Richard Girardot au Figaro. C'est un signe fort, symbole de notre relance sur le territoire français, avec la création d'un Nestlé.»

Pour la première fois, les salariés d'Herta (charcuterie sous vide et plats cuisinés), Nespresso (café), Nestlé Waters (eaux minérales)  et Galderma (laboratoire dermatologique) seront réunis sur un siège unique.
 
Première société agroalimentaire de France, avec 4,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires, la filiale du groupe Suisse était implantée depuis 22 ans à Noisiel, dans l'Est de Paris, où travaillent 1300 salariés. Ce site historique, celui de l'ancienne chocolaterie Menier, sera mis en vente. Le groupe espère en tirer un bon prix, dans la mesure où il est situé tout près de la base nautique de Vaires-sur-Marne, choisie pour les JO de 2024.

Ce déménagement s'intègre dans la stratégie mondiale de Nestlé de réunifier ses sièges afin de réduire les coûts. En France, la direction a mené une étude de plusieurs mois pour choisir l'emplacement idéal, en tenant compte des intérêts et des temps de trajets de tous les collaborateurs.

Malgré le départ, Nestlé renoue avec l’hydroélectricité…

Nestlé France quitte Noisiel

Nestlé France  inaugurait  le 25 octobre 2017 une turbine hydroélectrique adossée au Moulin Saulnier.  La force motrice de l’eau avait été utilisée pour la dernière fois en 1977 dans l’ancienne chocolaterie Menier, après une lente régression depuis la seconde Guerre mondiale.

Fabriquée en France, cette turbine de 32 tonnes, a une puissance de 466 Kwatts et tourne, entraînée par une chute d’eau de 3 m. La production d’électricité sera réinjectée directement dans le réseau électrique et permettra de couvrir 25% de la consommation du siège, soit en moyenne 2300 MWH/an.   

L’économie annuelle d’émission est estimée à 190 tonnes d’équivalent CO2, ce qui correspond à 20 fois le tour du monde en voiture.

Extraits de la motion présentée lors du Conseil municipal de Noisiel réuni en séance ordinaire le vendredi 24 novembre 2017.

•    Considérant qu’aujourd’hui 1300 salariés travaillent sur ce site à Noisiel et la municipalité partage leur inquiétude sur l’avenir de leurs emplois,
•    Considérant que ce site classé, situé notamment à proximité de futurs aménagements olympiques, à fort caractère à la fois patrimonial, industriel et environnemental a un impact certain sur le mieux-vivre des communes proches et l’attractivité de notre territoire,
•    Considérant qu’avec ce déménagement, la Commune, la Région et l’Etat sont concernés et, mis devant leur responsabilités, se doivent d’agir suivant les modalités les plus appropriées concernant à la fois la défense des salariés et la politique d’aménagement du territoire. Ce site, avec ses spécificités uniques, doit faire l’objet d’une attention particulière.
•    Considérant que dans le cadre de la construction du Grand Paris, et quel que soit son périmètre, ce déménagement est synonyme d’interrogations et d’inquiétudes en matière d’emplois sur notre territoire et en termes d’attractivité du territoire.

Le Conseil municipal de Noisiel alerte solennellement les pouvoirs publics afin qu’ils puissent agir en concertation, afin de peser efficacement pour tout à la fois préserver l’originalité, l’histoire et l’unité de ce site et en faire un élément structurant participant à l’amélioration du cadre de vie et du dynamisme de notre territoire.

Ce Conseil municipal dit que les élus de Noisiel seront vigilants à ce que l’unicité du site puisse être préservée et que des emplois qualifiés puissent y être développés avec une activité à forte valeur ajoutée pour notre territoire.

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Quelques dates historiques

1825 : Menier achète le moulin de Noisiel, qui sera par la suite agrandi et décoré.
1868 : Nestlé, originaire de Suisse, fait son apparition en France avec l’ouverture à Paris d’un point de vente de ses farines lactées pour enfants en bas âge.
Fin du XIXe  siècle : L’heure de gloire de la chocolaterie. Plus de 2 200 ouvriers s’affairent pour produire 70 tonnes de chocolat par jour.
1959 : L’ancienne chocolaterie n’appartient plus aux Menier qui sont ruinés, écrasés par la concurrence. Les propriétaires se succèdent.
1988 : Nestlé hérite du site à la suite d’une acquisition d’entreprise. La multinationale Suisse veut s’en débarrasser et fait appel au Cabinet d’Architectes Reichen et Robert afin de réaliser les travaux nécessaires à la vente.
1994 : Nestlé change d’avis. Début des travaux, qui coûteront environ 630 millions de francs (96 millions d’euros).
1996 : Nestlé s’installe dans l’ancienne chocolaterie Menier réhabilitée.
2012 : Environ 1 300 salariés travaillent sur les 14 hectares du site.

 

Références bibliographiques :
-    Le FIGARO, 14 novembre 2017, Ivan LETESSIER,
-    Le PARISIEN, 29 octobre 2017, Julie OLAGNOL,
-    Conseil municipal de Noisiel du vendredi 24 novembre 2017.

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Le Parisien 93 communique sur les Bas Heurts

Publié le par ADIHBH-V

LE PARISIEN 93 du 24 octobre 2017

PARLE DES BAS-HEURTS
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Avant : C’est la période sombre des Bas-Heurts sous
Michel PAJON : 2004-2015

Le Parisien 93 communique sur les Bas Heurts
Le Parisien 93 communique sur les Bas Heurts
Le Parisien 93 communique sur les Bas Heurts
Le Parisien 93 communique sur les Bas Heurts

Depuis septembre 2015, c’est le New deal.
Le PARISIEN en parle...

Le Parisien 93 communique sur les Bas Heurts

Rappel de l'Assemblée Générale de l'ADIHBH-V de ce samedi 18 novembre 2017

Publié le par ADIHBH-V

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE

ANNUELLE

DE L'ADIHBH-V

Nos fidèles adhérents de l'ADIHBH-V sont conviés à l'Assemblée générale de notre association :

Ce samedi 18 novembre 2017 à 17H

au STUDIO EXPRESS YOURSELF

12 rue Pierre BROSSOLETTE  à Noisy le Grand

 

Si vous ne pouvez vous déplacer, n'oubliez pas de nous faire parvenir vos pouvoirs afin que le nombre nécessaire de personnes représentées soit atteint pour la tenue de cette Assemblée.

À samedi !

L'équipe de l'ADIHBH-V

Rappel de l'Assemblée Générale de l'ADIHBH-V de ce samedi 18 novembre 2017

Enfin du nouveau pour les Bas Heurts !

Publié le par ADIHBH-V

LA ZAC DES BAS-HEURTS


VIENT D’ÉCLORE…
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Enfin du nouveau pour les Bas Heurts !

Lors de la séance du Conseil municipal du 19 octobre écoulé, la ZAC des Bas-Heurts a été approuvée. Préalablement, la méthodologie originale poursuivie par la Municipalité a consisté à organiser trois ateliers thématiques et une réunion publique (les 21 janvier, 23 janvier et 1er février 2017. Une réunion de clôture le 19 avril 2017), réunissant l’ADIHBH-V, des habitants, des élus, les Services de la Commune, les représentants de l’Aménageur SOCAREN, de l’Agence d’Urbanisme ASPHALT en charge de la concertation et de l’Agence DEVILLERS & ASSOCIES urbaniste du projet Bas-Heurts.

L’Étude d’impact a fait l’objet d’une mise à disposition du public du 04 au 18 septembre 2017.

Compte tenu des ambitions de la Commune en termes de qualité de réalisation des espaces et des équipements publics, la ZAC ( Zone d’Aménagement Concerté) est retenue comme mode opératoire pour l’aménagement du quartier des Bas-Heurts et le dossier de création de cette ZAC est approuvé. Le périmètre de la ZAC couvre une superficie d’environ 11,5 ha et le programme global prévisionnel des constructions prévoit :
-    de 42.000 m² à 54.000 m² de surface de plancher de logements, soit de 700 à 900 logements environ dont 30% maximum de logements sociaux,
-    5.000 m² d’activités, de commerces et d’équipements de proximité.

La réalisation de ce programme s’accompagnera de celle de l’ensemble des infrastructures et réseaux nécessaires à la viabilisation du quartier, ainsi que de l’aménagement d’une promenade des jardins.

La SPL SOCAREN est désignée en qualité d’aménageur de l’opération et le traité de concession correspondant est approuvé pour une durée prévisionnelle de 8 ans.

Pour télécharger et consulter le dossier de la ZAC
des Bas-Heurts, cliquer
ici (complet) ou sur les liens ci-dessous :

BAS HEURTS dossier de création de ZAC

Bilan de la mise à disposition de l'étude d'impact

Bilan de la concertation


Présentation de Brigitte MARSIGNY - Maire.


Commentaire de Yann MILLERIOUX - Noisy solidaire à Gauche vraiment


Commentaire de Serge EPINARD – MRC


Commentaire d‘Emmanuel CONSTANT – PS

 

Précisions de l’ADIHBH-V

Contrairement aux propos en séance de l’ancien Adjoint au Maire à l’Urbanisme, sous le règne de Michel PAJON, et aux commentaires erronés sur facebook suite à l’article du PARISIEN 93, l’ADIHBH-V tient à préciser que les projets urbains de Michel PAJON pour l’ancien, et de Brigitte MARSIGNY pour le nouveau, sont fondamentalement différents. Et pour cause ! Nous passons de 1800 à 800 logements, c'est-à-dire des hauteurs initiales de R+10 (voir photo ci-dessous) à aujourd’hui des hauteurs R+4 + attique.
De plus, avec :

-    une limitation du périmètre d’aménagement au seul foncier maîtrisé ou maîtrisable à l’amiable,

-    un développement d’un quartier résidentiel tenant compte des quartiers pavillonnaires environnants (c’est la zone de courtoisie), des habitations préservées sur le secteur et créant une identité harmonieuse alliant l’histoire du quartier et l’accueil des nouveaux habitants,


La question est simple, erreur, mensonge ou intox ?

 

Enfin du nouveau pour les Bas Heurts !