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134 articles avec information

Noisy le Grand à l'honneur dans le palmares des collèges et lycées

Publié le par ADIHBH-V

PALMARÈS DES LYCÉES

ET COLLÈGES

EN SEINE-SAINT-DENIS.

NOISY-LE-GRAND À L’HONNEUR
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Lycée International de l’Est Parisien

Collège International de Noisy-le-Grand

À Noisy-le-Grand, Seine-Saint-Denis, trois établissements d’excellences.

Le Collège International, le Lycée International de l’Est Parisien talonné par le Lycée Évariste-Gallois dans l’Ouest Noiséen.

Mention spéciale au Collège International de l’Est Parisien qui se classe 2ème au classement des 30 meilleurs Collèges Public en France (100% de réussite au Brevet, 15/20 de moyenne aux épreuves écrites). Françoise CABRINI, Collège Privé arrive en 19ème position (100% de réussite, 14,8/20 de moyenne au Brevet).

Côté Lycée, Le Lycée International de l’Est Parisien se positionne en 10ème place au classement des 30 meilleurs Lycées Public en France (99% de réussite au Bac, 90% de mentions).

Toutefois, il faut reconnaître que le classement de ces établissements internationaux est un peu biaisé car, bien que publics, ils sélectionnent leurs élèves à l’entrée. Un critère qui, bien sûr, a un impact sur le taux de réussite aux examens. Nous connaissons de bons élèves qui n’ont jamais pu intégrer ces établissements.

Néanmoins, notons la remarquable 2ème position dans ce palmarès en Seine-Saint-Denis du lycée public Évariste-Gallois (94% de réussite au Bac, 63% de mentions, 13,65 /20 de moyen au Bac) qui ne procède à aucune sélection à l’entrée.

Lycée Évariste GALOIS

Une réussite expliquée par « l’investissement de l’équipe éducative : Enseignants, Conseillers Principaux d’Éducation, Assistants, etc…Par ailleurs, la mixité sociale de cet établissement présente un des écarts types d’IPS (Indice de Position Sociale) les plus élevés du 93.

Remarquons que désormais tous les élèves ou presque obtiennent leur Brevet ou leur Bac.

En 2023, le taux de réussite au Bac général s’élevait à 90,9% (dont 67% de mentions). Quand celui du Brevet atteignait les 89,1% (dont 82% de mentions). Le choix d’un Collège ou d’un Lysée n’a donc plus la même importance qu’autrefois puisque la très grande majorité des établissements garantit l’obtention de ces sésames.

Face au grand bidouillage des résultats aux examens, faut-il prendre ces notes pour argent comptant sachant qu’il existe des « correctifs académiques » depuis 2019 à la main des Recteurs qui ont pour but de gonfler les notes.

Il s’agit d’une pratique bien connue mais jamais vraiment chiffrée. (Le FIGARO du 22 mars 2024). Exemples, un taux de réussite au Brevet gonflé de presque 6 points dans l’Académie de Créteil, de 5 points à Nice et Versailles, etc…

L’idée directrice de cette méthodologie serait de ne pas porter la honte sur certains territoires, estime un bon connaisseur du système. C’est toujours la même histoire : vous avez de la température, alors changez de thermomètre.

Ceci dit, l’éphémère Ministre de l’Éducation Nationale, Gabriel ATTAL voulait mettre fin à cette pratique, confirmée le 14 mars dernier pour la session 2024 du Brevet. Il assumait donc que le taux de réussite au Brevet allait diminuer. Une décision qui ne sera pas sans conséquence car, à compter de 2025, le Brevet sera obligatoire pour entrer en seconde. Dans la négative, les recalés devront intégrer une « Prépa seconde » (jadis nous parlions de redoublement !).

Aujourd’hui qu’elle sera la décision de Nicole BELLOUBET, sachant qu’elle rétropédale déjà sur les « classes de niveaux » de Gabriel ATTAL.

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Contribution bibliographique :
-        Le PARISIEN 93 : Hélène HAUS – Le PARISIEN 94 : Gérard MORUZZI – 20 mars 2024,
-        Le FIGARO : Jeanne PATURAUD et Valentin AUTIE – 20 mars 2024,
-        Le FIGARO : Caroline BEYER – 22 mars 2024

 

Publication le PARISIEN 93 – 20 mars 2024

Publication le PARISIEN 94 – 20 mars 2024

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Le bois Louis LUMIÈRE sauvé ! Provisoirement ?

Publié le par ADIHBH-V

BNP ABANDONNE

SON PROJET IMMOBILIER

SUR LE BOIS « LOUIS LUMIÈRE »

À NOISY-LE-GRAND
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Ce projet immobilier qui menaçait le « Bois Louis Lumière », petite forêt urbaine de 1000 arbres, ne verra finalement pas le jour puisque BNP Immobilier jette l’éponge le 11 mars 2024.

Tout commence le 19 mai 2022 lorsque l’édile de Noisy-le-Grand annonce l’achat puis la vente d’un terrain de 2,2 ha au Promoteur BNP Paribas pour édifier 500 logements sur ce site boisé.

Ainsi, le combat commence avec des Riverains, des Associations et des Citoyens de la Ville ; entre autres : Alerte Bêton Bois Louis Lumière, les Associations Environnementales R.E.N.A.R.D de Roissy-en-Brie, l’ANCA de Neuilly-Plaisance, l’Association nationale pour la Biodiversité, l’Association Sauvons les Arbres du 93, la Direction Régionale de l’Environnement, le Groupe National de Surveillance des Arbres (GNSA), les Groupes politiques d’Opposition (Projet Citoyens, Noisy respirons, …) etc…. et, pour couronner le tout, une pétition regroupant plus de 4600 signatures.

Évidemment, Brigitte MARSIGNY est en colère et fustige BNP Immobilier en mentionnant qu’ils ont dû faire leur bilan et constater que cette opération ne serait pas suffisamment rentable, puisque déjà leurs affaires ne sont pas reluisantes.

Ceci dit, plusieurs promoteurs sont dans cette même situation compte tenu de la crise de l’Immobilier en ce moment.

Enfin, parions que BNP Immobilier va avoir dans le futur quelques difficultés à construire à Noisy-le-Grand lors des prochains Appels d’Offres, puisqu’en règle générale ce type de comportement avec les Municipalités a un prix.
 

Le PARISIEN en parle – Elsa MARNETTE – 13/03/2024
 


 
France 3 région en parle – Valentine PONSY – 13/03/2024

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Crise dans le logement

Publié le par ADIHBH-V

LE SECTEUR DU LOGEMENT

AU BORD DE L’EFFONDREMENT
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En 12 mois, la crise de l'immobilier a encore pris de l'ampleur, au point que ses conséquences débordent désormais largement du strict cadre de son secteur et de ses principaux acteurs économiques, constructeurs, promoteurs, agents immobiliers, notaires... pour atteindre aujourd'hui l'ensemble du pays, et en premier lieu les ménages et les collectivités locales qui en subissent les effets dévastateurs.

Rien de surprenant : tous les facteurs se sont progressivement accumulés pour l'aggraver depuis deux ans.

L'inflation a réduit le pouvoir d'achat des ménages et alourdi le coût des matériaux de construction.

Puis contraint la Banque Centrale Européenne (BCE) à durcir sa politique monétaire. La remontée historique des taux d'intérêt a inévitablement à son tour entraîné la diminution des prêts accordés aux particuliers, d'autant que les banques ont dû prendre en compte des conditions d'octroi plus strictes qu'auparavant.

La mise en place progressive des nécessaires réglementations environnementales ; la RE 2020 et le ZAN, pour « Zéro Artificialisation Nette » des sols a raréfié le foncier disponible pour la construction, y compris en zones tendues, tout en réduisant le nombre de biens disponibles à la location.

La diminution des dispositifs d'incitation fiscale, le « Pinel » sera supprimé dès cette année, a détourné du marché les investisseurs particuliers, tandis que celle des rendements attendus a fait fuir beaucoup d'investisseurs institutionnels.

Résultat : Des postes délaissés par des candidats sans possibilité de logement à proximité de leurs lieux de travail (mais une quantité de bureaux vides), une natalité en nette décrue l'an dernier, des chefs d'entreprise qui se lancent eux-mêmes dans la construction à côté de leurs sites industriels pour pouvoir loger leurs salariés, des promoteurs sans projets ni chantiers, des étudiants sans toit qui renoncent ainsi parfois à leur cursus, des annonces qui suscitent plusieurs centaines d'appels en quelques minutes, des agences en faillite, des notaires qui licencient (-57 % d'activité en moyenne l'an dernier) et des élus en quête de ressources de remplacement pour pallier la chute de leurs recettes fiscales, mais qui refusent pourtant de plus en plus de permis de construire (-100 000 en douze mois).

Mais toujours pas de ministre du Logement, plus de deux semaines après la nomination de Gabriel ATTAL à Matignon.

En chiffre

La directrice de NEXITY dénonce un marché gelé

Souvenons-nous ,qu’en Janvier 2022, les taux d’intérêt à 25 ans se situaient aux alentours de 1%.

Moins de 24 mois plus tard en décembre 2023 ils atteignent 4,5% !

Les constructions de logements neufs ont chuté de 22% entre 2022 et 2023 tandis que les permis de construire accordés ont diminués de 24% sur la même période.

Enfin, pour recréer un marché de la location privée, il faut améliorer le rendement de l’investissement, d’autant que la suppression du dispositif fiscal « Pinel » n’améliorera pas la situation.

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Contribution bibliographique : LA TRIBUNE DIMANCHE, 28 janvier 2024, Marie-Pierre GRÖNDAHL
 

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Retour sur la Réunion publique sur la circulation pour le quartier de La Varenne du 18 décembre 2023

Publié le par ADIHBH-V

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RÉFLEXIONS SUR LA CIRCULATION

DANS LE QUARTIER

DE LA VARENNE

À NOISY-LE-GRAND
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Le 18 décembre 2023 les Services techniques de la Ville de Noisy-le-Grand présentait cette première démarche à la Maison pour tous de La Varenne en présence des élus Pierre BORNAND, Adjoint, délégué aux quartiers La Varenne, Bas-Heurts et Épinette et Antoine PIROLLI, Conseiller municipal, délégué à l’Espace public.


Pour accéder au document visuel présenté :
 

Cliquer ici
 
 

Pour accéder à l'enregistrement audio :

 

Cliquer ici


En conclusion les Services Techniques ont présenté deux scénarios:

- Soit les Études et la concertation se déroulent dès le printemps 2024 mais portent uniquement sur la Zone 30 et la circulation des Poids lourds.

- Soit les Études et la concertation se déroulent à partir de 2025 et portent cette fois-ci sur la Zone 30, la circulation des Poids lourds et le Plan global de circulation du quartier.

Pour accéder à la suite de l'enregistrement audio de la présentation des deux options :

 

Cliquer ici

C’est ce deuxième scénario qui a obtenu une large majorité lors d’un vote à main levée.

À ce titre, il est évident pour l’ADIHBH-V que la circulation étant reportée sur les axes majeurs, dont la rue départementale Pierre Brossolette, le quartier des Bas-Heurts sera également impacté.

Sans oublier la circulation rue des Aulnettes qui sera intensifiée, et dont il faudra bien un jour ou l’autre conclure d’éventuelles difficiles négociations avec la Commune limitrophe de Bry-sur-Marne.

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De nouveaux lieux de recharge de véhicules électriques à Noisy-le-Grand

Publié le par ADIHBH-V

Mc DONALD’S S’ENGAGE

DANS LA RECHARGE

DES VÉHICULES ÉLECTRIQUES

À NOISY-LE-GRAND.
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Mc DONALD’S – 2 rue du Fort – 93160 Noisy-le-Grand

Désormais, les voitures électriques ont aussi leur fast-food. McDonald’s et Izivia, une filiale d’EDF, dévoilent mardi 21 novembre 2023 un nouveau réseau dédié à la recharge des véhicules à batterie : Izivia Fast. D’ici à 2025, 2000 points de charge ultrarapides seront installés sur les 700 parkings du géant américain de la restauration rapide en France. Le déploiement a déjà commencé, marqué par l’inauguration d’une station de recharge chez Mc DONALD’S, 2 rue du Fort à Noisy-le-Grand mardi 21 novembre.

L’idée est d’offrir aux consommateurs la possibilité de recharger en une vingtaine de minutes 80 % de la batterie. Pour tenir cette promesse, Izivia dotera les parkings de Mc Donald’s de points de charge ultrarapides, 150 kilowatts (kW), quand les bornes de recharge à domicile affichent une puissance généralement comprise entre 3,7 et 22 kW.


Rapidité et accessibilité seront au menu, avec un tarif autour de 35 centimes du kilowattheure (kWh), soit environ 5 à 6 euros pour 100 kilomètres d’autonomie.

En effet, les recharges accessibles au grand public sont généralement plus onéreuses que celles effectuées à domicile, dont le coût est estimé à 2 ou 3 euros pour 100 kilomètres.

Il faut généralement débourser deux fois plus pour une recharge standard effectuée à l’extérieur (dans la rue, sur un parking public…) et 10 à 12 euros pour une rapide. Enfin, Izivia Fast sera alimenté par de l’électricité verte (éolienne, photovoltaïque, hydraulique) afin de garantir le taux de CO2 le plus faible possible.

L’enseigne n’est d’ailleurs pas la seule à proposer des points de charge à ses clients. Carrefour s’est ainsi fixé pour objectif de proposer 5000 points de charge à ses clients d’ici à 2025. La chaîne hôtelière B&B installe 300 bornes sur ses parkings, avec Engie, proposant un choix de recharge lente, adaptée à ceux qui passent la nuit à l’hôtel, ou rapide, plus pour une clientèle de passage.

Dans la plupart des cas, l’utilisateur paye l’électricité consommée, comme pour faire un plein d’essence. L’essentiel est de proposer le service pour répondre à un besoin nouveau, lié au développement des ventes de voitures électriques.

En octobre 2023, elles ont représenté 17 % des achats de véhicules neufs en France.

Cette transition pousse aussi les stations-services à revoir leur offre.
Total Energies, propriétaire du plus grand réseau en France, s’attelle à suivre, voire anticiper, cette mutation. Le groupe a équipé 190 de ses stations en France et en vise 500 à l’horizon 2026.
Le service à la clientèle et la volonté de contribuer à la transition écologique ne sont toutefois pas les seules motivations du développement de ce service. La loi d’orientation des mobilités (LOM) impose notamment aux entreprises d’installer au moins un point de recharge dès lors qu’elles disposent de plus de 20 places de parking, couvertes ou non, avant le 1er janvier 2025.

Ce chiffre s’inscrit dans un objectif plus large fixé par le gouvernement ; disposer de 400.000 bornes accessibles au public d’ici à 2030, contre près de 110.000 aujourd’hui.

Des points de recharge publics situés aussi bien sur des parkings que dans des rues. Les collectivités territoriales se sont aussi emparées du sujet, à l’image de Paris, dont les 2100 stations de recharge Belib’ dans 425 stations sont gérées par Total Energies.

Néanmoins, la plupart des recharges se font au domicile de l’automobiliste, qu’il réside en maison individuelle ou dans une copropriété. Là aussi, le développement bat son plein, notamment dans le collectif, où les freins ont longtemps été nombreux.

Seuls 2 % des copropriétés seraient équipées en bornes électriques, selon Enedis, le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité. Installer une borne dans une maison est relativement simple.
C’est plus compliqué dans le collectif, concède le Directeur adjoint au département Infrastructures et Mobilité à la Banque des territoires (CDC). Pour caricaturer, la copropriété n’a pas envie de payer pour recharger la Tesla d’un des résidents. Et le propriétaire de la Tesla ne veut pas payer seul l’installation d’un tel équipement pour tout l’immeuble.

Ces freins sont en train d’être levés. Les aides à l’achat de bornes électriques sont désormais bien calibrées, jusqu’à 960 euros hors taxe par borne achetée via le dispositif d’État Advenir.
Une dizaine d’opérateurs Zeplug, Waat, Beev proposent aujourd’hui des solutions clé en main via des abonnements.

Et l’État prend sa part puisque la Caisse des dépôts finance les coûteuses installations électriques nécessaires à l’alimentation des bornes, et noue des partenariats avec les opérateurs dont il perçoit une part des abonnements.

Résultat, une fois la convention signée avec un opérateur qui se charge de tout ; aides financières, et négociations avec le fournisseur d’électricité, la copropriété n’a rien à débourser.

Tout n’est pas rose pour autant. Cette décision doit faire l’objet d’un vote en Assemblée Générale (AG). Or elle ne se réunit en principe qu’une fois par an. Et les copropriétaires peuvent voter contre, obligeant les utilisateurs de voiture électrique à se débrouiller.

À l’inverse, si l’opération est validée par l’AG, les délais de mise en œuvre peuvent être longs. Enedis ou d’autres gestionnaires de réseaux électriques peuvent mettre des mois avant d’alimenter la nouvelle installation.

Parfois, certains résidents, lassés des délais d’installation, finissent par se brancher sur le tableau électrique commun. Cela provoque inévitablement des frictions. Ces solutions ne sont en outre pas optimales.
Il faut au moins une trentaine d’heures pour recharger une voiture de cette façon, contre 7 à 8 heures avec une borne électrique en bonne et due forme. D’où, désormais, l’intérêt des copropriétaires pour ces solutions.

Au côté des voitures, les camions électriques sont aussi de plus en plus nombreux. Nous constatons une augmentation du parc et une accélération de la demande, souligne le Directeur général Engie mobilité électrique.

Dès la fin 2024, des stations de charge à 1 mégawatt (MW) devraient commencer à voir le jour, pour répondre aux besoins du transport routier.

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Contribution bibliographique : Le FIGARO, le mardi 21 novembre, Elsa BEMBARRON et Jorge CARASSO.

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