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128 articles avec divers

Vous voulez suivre le match de Noisy le Grand Footbal Club lors des 16èmes de finale de la Coupe de France ?

Publié le par ADIHBH-V

EXPLOIT POUR


 NOISY-LE-GRAND


FOOTBALL CLUB
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Le but de la victoire

Le but de la victoire

Noisy-le-Grand FC, champion d’automne de son groupe en Régionale 1, a éliminé le 06 janvier écoulé le GFC Ajaccio (2-1) pour sa première participation au 32e de finales de la Coupe de France de Football. Visant la Ligue 2 d’ici 2023, Noisy-le-Grand FC a pu constater qu’il n’en était plus très loin !

Le journal l’EQUIPE en parle sous la plume de
Julien LEDUC

 

Vous voulez suivre le match de Noisy le Grand Footbal Club lors des 16èmes de finale de la Coupe de France ?

Et maintenant au tour du SC BASTIA en 16e de Finale.

 

Malheureusement pour des raisons de sécurité, le Noisy-le-Grand FC ne peut prendre en charge le déplacement des supporters à FURIANI. Cependant, pour que les Noiséens puissent vivre l’aventure, la Mairie retransmet cet évènement historique sur écran géant au Gymnase du Clos de l’Arche. Rendez-vous à partir de 17h le jeudi 24 janvier 2019.

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Mobilité: Une piste contre la pollution ?

Publié le par ADIHBH-V

VERDISSONS-NOUS :


L’HYDROGÈNE,


 UNE ALTERNATIVE SÉRIEUSE


 À LA VOITURE ÉLECTRIQUE ?
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Schéma de principe

Schéma de principe

La pile à hydrogène produit de l’électricité pour alimenter des batteries qui vont permettre au moteur électrique de fonctionner et d'entraîner les roues du véhicule. Pour produire de l’énergie, la pile n’a besoin que d’hydrogène et d’air. Deux composés qui se trouvent facilement sur la terre. En produisant de l’électricité, la pile produit aussi de la chaleur qui peut être récupérée, et de l’eau, mais pas de gaz à effet de serre. 


Sur le papier, l’hydrogène a tout pour plaire. Cette ressource est présente en abondance et sa production ne génère pas de CO2, à condition de recouvrir au procédé de l’électrolyse avec de l’énergie renouvelable. Quant à la voiture elle-même, elle ne rejette que de la vapeur d’eau. Et elle échappe aux freins inhérents au véhicule électrique, à savoir une autonomie limitée et une durée de recharge conséquente.


La voiture électrique peut être très polluante !


Certains vont bondir mais il ne faut pas se limiter à dire qu'aucune émission n'est rejetée avec une voiture électrique, c'est même trompeur et mensonger.  Premièrement il faut savoir que la fabrication d'une voiture électrique est très polluante, en particulier pour les batteries qui nécessitent l'emploi de nombreux produits chimiques (plomb, lithium etc ...) et ne nous permet pas de nous affranchir de l’omnipotence industrielle de la Chine et de la Corée. On estime qu'une automobile électrique neuve a autant pollué qu'une voiture thermique qui a roulé 100 000 km.
En effet, les voitures électriques ne consomment pas de l’énergie uniquement lorsqu’on les recharge. L’énergie nécessaire à leur fabrication est également considérable. Du fait des nombreux métaux nécessaires à sa batterie, qu’il faut extraire du sol, acheminer, transformer, la voiture électrique nécessiterait 3 à 4 fois plus d’énergie qu’une automobile à essence pour être fabriquée.


Enfin il faut bien comprendre qu'une voiture électrique se recharge et a donc besoin d'électricité en grande quantité. Si la France produit peu de pollution avec l'utilisation de centrales nucléaires, il faut savoir que 40% de l'électricité produite dans le monde est générée par des centrales à charbon qui sont extrêmement polluantes ... Donc en critiquant le rendement des moteurs thermiques par rapport aux électriques, on oublie que l'électrique se nourrit de thermique avec les centrales à charbon.


Le charbon produit beaucoup de particules fines et d'effet de serre, une calamité que tous les constructeurs omettent de dire ! Le charbon est la seule énergie qui reste en masse sur terre avec le pétrole.


Pour décarboner nos déplacements, faut-il miser sur les voitures électriques à batterie ou à hydrogène ?

Demain, roulera-t-on à l’électricité ou à l’hydrogène ? À cette question souvent posée dans les débats sur la mobilité du futur et la transition énergétique, la revue trimestrielle  WE DEMAIN a interviewé Pierre-Étienne Franc, Vice-président chargé des marchés et technologies avancées du groupe Air Liquide, il répond "les deux’’ !.
Selon lui, il n'y a pas d'opposition entre le développement de la voiture électrique à batterie et le développement de la voiture électrique à hydrogène. Au contraire, ces deux technologies sont complémentaires, assure-t-il, vantant l'autonomie et le temps de charge de la voiture électrique à hydrogène, sensiblement identiques à ceux d'une voiture classique à moteur thermique.


Contrairement à certaines idées reçues, la voiture à hydrogène dispose d'une motorisation électrique identique à celle de n'importe quelle voiture électrique. La différence réside dans le mode de stockage de l’électricité. Dans la voiture électrique à batterie, l’électricité est fournie par une batterie qui est rechargée en la branchant sur le réseau.


Dans le cas de la voiture à hydrogène, l'hydrogène est stocké dans un réservoir sous pression (700 bars) et l'électricité est produite par une pile à combustible qui transforme l'hydrogène en électricité. Il faut donc voir l'hydrogène, non comme le combustible qui fait marcher la voiture, mais comme une forme de stockage de l'électricité. Toyota, Honda, Hyundai, ou Daimler construisent en série des voitures qui roulent à l’hydrogène.

Pour Pierre-Étienne Franc, l’hydrogène est même un chaînon essentiel de la transition énergétique. L’expert explique que si toutes les voitures électriques étaient à batterie, cela poserait un problème d'infrastructure de réseau électrique et de production. Cela exigerait la production d'un réacteur nucléaire.  

Très modestement, Air Liquide veut sauver la planète !

La station Air Liquide

La station Air Liquide

Aujourd’hui, trois stations-services d’hydrogène destinées à recharger les véhicules électriques dotés d’une pile à combustible sont en place en Ile-de-France : Les Loges-en-Josas (Yvelines), Paris, et Orly (Val-de-Marne), près de l’aéroport. Ces véhicules ne fonctionnent pas grâce à de l’électricité stockée dans une batterie mais directement produite à bord grâce à la pile alimentée par l’hydrogène qui réagit avec l’oxygène de l’air. Aucun CO2 ne s’échappe du pot d’échappement, seulement de l’eau.
Ces points de ravitaillement sont utilisés par « Hype » une flotte de 75 taxis parisiens (75 véhicules fin 2017, vise 200 véhicules fin 2018 et 600 avant fin 2020) à hydrogène déployée par une Start-Up, en partenariat avec Air Liquide. Et d’ici la fin de l’année, deux bus équipés devraient être mis en service pour faire la navette entre Vélizy et Versailles.


De l’hydrogène fabriqué à partir de l’air.

L'hydrogène est présenté comme une solution écologique, c'est à dire faiblement émissive de CO2, mais le moyen le plus efficace de fabriquer de l’hydrogène reste de casser la molécule de gaz naturel. Ce qui nécessite de l’énergie. Donc, on tourne  en rond…
Sauf, dit Pierre Étienne Franc, si on utilise du biogaz, ou si on capture et stocke le gaz carbonique émis lors de la transformation, ou si l’on utilise de l'électricité éolienne ou solaire pour fabriquer de l’hydrogène par électrolyse.
Cette dernière solution, bien que plus chère, permet de tirer profit de kilowattheures à très bas prix quand les éoliennes tournent à plein régime la nuit et de permettre ainsi de stocker l’énergie intermittente disponible, de plus en plus souvent, avec la hausse de la part d’énergies renouvelables dans le mix énergétique.

Quel coût aux 100 kilomètres ?

L'autre question concerne le coût de l'énergie aux 100 km parcourus. Selon Air Liquide, l'analyse en euros de la production du kilo d'hydrogène produit par électrolyse pour parcourir 100 km aboutit à un coût de 10 à 12 €/100 Km.
En comparaison, une voiture à batterie consomme, à la prise, de l'ordre de 15 à 20 KWh/100 Km, soit de l'ordre de 2 à 3 € d'électricité selon les tarifs, contre 8,50 €  de carburant diesel ou 11,50 € s’il s’agit d’un véhicule à essence.
Mais Pierre-Étienne Franc considère que la rentabilité aux différents points de la chaîne de valeur de la filière batterie reste cependant encore très incertaine et devra probablement à terme mieux rémunérer l’usage des bornes de recharge.
Comprenons par-là que l’hydrogène est incomparable en termes d'autonomie, de temps de recharge et de disponibilité du véhicule, et qu’il ne génère aucune émission locale ni globale si produit à base d'électricité renouvelable.


Avec son efficacité énergétique sans commune mesure, la pile à combustible des voitures à hydrogène permet aujourd'hui à ces véhicules (le prototype SUV familial Nexo de chez Hyundai par exemple) d'afficher une autonomie de 650 km (soit l'équivalent d'un véhicule diesel), pour un temps de rechargement record de 5 minutes, pour un prix du plein d’hydrogène d’environ 50 euros !


Quid du climat ?


D'un point de vue environnemental, si l'électricité qui sert à produire l’hydrogène est renouvelable, la filière automobile à hydrogène est donc respectueuse du climat. Mais quel industriel résistera à la tentation de produire économiquement l'hydrogène à partir de gaz naturel, à la place d'électricité renouvelable, solution très gourmande en capital, peu efficace, et chère.

Selon Air Liquide, "le reformage de biométhane dans des unités industrielles permet d'atteindre des efficacités de conversion en hydrogène de l'ordre de 80 % et un faible contenu carbone".

Du côté de la filière automobile à batterie, c'est la même chose. Si les batteries sont chargées avec de l’électricité renouvelable, tout va bien. Mais on est encore loin du compte !

Alors qu'en Norvège la voiture électrique à batteries fonctionne à l'électricité hydraulique (95 % de la production électrique), en Chine, premier marché automobile mondial, elle marche au charbon (plus de 60 % de la production électrique). Même en Europe, région du monde où l'électricité est assez faiblement carbonée, la voiture électrique moyenne produit 90 grammes de CO2 par kilomètre.


Dans le monde, 66 % de l'électricité est encore produite à partir de combustibles fossiles et la voiture électrique à batterie "moyenne", ne sera pas avant longtemps plus "verte" qu'une automobile à essence optimisée.
 

 

Conclusions


Le risque est donc de ne considérer la voiture propre que comme un engin capable de réduire la pollution dans les villes, tout en déportant la pollution ailleurs et en mettant de côté le problème climatique. Il n'y aura pas de voiture électrique propre, quelle que soit la filière, sans un développement considérable de la production électrique renouvelable.

Avis aux épicuriens….


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Contribution bibliographique :
-    Le Figaro, 23/11/2018, Sylvain REISSER,
-    https://www.sciencesetavenir.fr, 01/06/2018, AFP,
-    https://www.automobile-propre.com
-    https://www.wedemain.fr, 17/05/2017, Yves HEUILLARD.

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Grand Paris Express : 200 millions d'euros pour rien ?

Publié le par ADIHBH-V

LE CHANTIER DU GRAND PARIS


 DE 200 MILLIONS D’EUROS


 À CHAMPIGNY-SUR-MARNE,


 POUR RIEN !
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Grand Paris Express : 200 millions d'euros pour rien ?

Alors que les travaux sont menés depuis trois ans à Champigny-sur-Marne, le Directeur général de la Société du Grand Paris (SGP) n'est pas convaincu de la nécessité de l'interopérabilité prévue entre deux lignes du Grand Paris Express.
C'est une cicatrice qui zèbre Champigny-sur-Marne, dans le Val-de-Marne. Un énorme trou, de 100 m de long sur 40 m de large, creusé depuis trois ans. Il aura coûté près de 200 millions d'euros, en comptant le prix des expropriations. Un chantier indispensable pour établir l'interconnexion entre la ligne 15 Sud et la ligne 15 Est. Autrement dit, permettre aux passagers de ne pas changer de train quand ils passent d'une ligne à l'autre.
Mais le Directeur général de la SGP, Thierry DALLARD, n'est pas convaincu de la nécessité de cette interopérabilité. L’interopérabilité, cela signifierait que seulement un train sur deux venant de la ligne 15 Sud ira à Noisy-Champs, souligne-t-il. En plus, cela nécessiterait de faire un deuxième ouvrage d'entonnement générateur de travaux avec beaucoup de nuisances. Accessoirement, renoncer à cette interconnexion générerait des économies bienvenues pour la SGP de 120 à 150 millions d'euros.
Selon Christian FAUTRE, Maire de Champigny-sur-Marne, à cause de ce chantier, on a exproprié des habitants, des commerces sont en difficulté et maintenant on nous dit que ce n'est pas le bon choix.
Les riverains et les élus locaux, eux, ne comprennent pas cette remise en cause. À leur demande, ils ont été reçus la semaine dernière par Thierry DALLARD, qui ne les a pas convaincus. Si on abandonne l'interopérabilité, il faudra faire une nouvelle déclaration d'utilité publique qui nécessitera un an à un an et demi de délai supplémentaire, souligne Christian FAVIER, Président PCF du Conseil départemental du Val-de-Marne.
Ce n'est pas sérieux d'avoir fait ce trou pour rien, c'est du gaspillage d'argent public grince Christian FAUTRE. De plus, certains redoutent que cette éventuelle suppression de l'interconnexion fragilise la ligne 15 Est. Sans interopérabilité, fera-t-on le tronçon entre Rosny et Champigny sur la ligne 15 Est, s'interroge Corinne VALLS, Vice-présidente PS du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis, chargée des mobilités ?.
Face à cette déferlante de critiques, Thierry DALLARD ne désarme pas. Ce trou est nécessaire pour faire entrer et sortir les tunneliers, argumente-t-il. Et, quoi qu'on fasse au sujet de l'interopérabilité, cela ne changera rien pour la ligne 15 Est. Il promet qu'une décision sur cette interconnexion sera prise en 2019.


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Contribution bibliographique :
-    Le FIGARO du 02/11/2018 sous la plume de Jean-Yves GUERIN


 

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Michel PAJON condamné !

Publié le par ADIHBH-V

MICHEL PAJON CONDAMNÉ


À 40.000 € D’AMENDE !
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Michel PAJON condamné !

Michel PAJON a été reconnu coupable de prise illégale d’intérêts et condamné le 26 novembre écoulé par la 15e Chambre correctionnelle du TGI de Bobigny à une amende de 40.000 € . Il lui est reproché d’avoir acheté six appartements dans le programme immobilier « LEO » du promoteur PIETROGIOVANNA, sur le quartier de La VARENNE à Noisy-le-Grand, dans lequel Michel PAJON a signé les Permis de Construire.
Jugement, selon nous, d’une grande clémence puisque lors de l’audience initiale le Procureur Marc BOURRAGUE avait réclamé une peine de dix mois avec sursis contre l’ancien édile socialiste de Noisy-le-Grand
(Lire notre article du 03 octobre dernier: Ici). En effet, c’est quoi 40.000 € pour l’ancien élu qui possède un patrimoine immobilier estimé à plus de 5 M€. Tout simplement 40 loyers à 1.000 €….
Alors posons-nous sérieusement la question de l’existence d’une justice à deux vitesses. Le Président de l’ADIHBH-V, compte tenu de son expérience lors d’une confrontation juridique avec l’ancien édile de Noisy-le-Grand qui a durée 7 ans, répond par l’affirmative.
Un appel est possible de la part du Parquet ou du prévenu. L’ADIHBH-V a sollicité la communication du jugement auprès du greffe du TGI de Bobigny le 09 novembre dernier. Mais il faut savoir qu’à Bobigny les jugements ne sont rédigés que s’il y a appel.
Notre demande a été enregistrée, mais nous ne savons pas si Michel PAJON a fait appel.

Le PARISIEN 93 en parle,

sous la plume de Carole STERLE le 27 octobre 2018.

 

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Plus que quelques jours pour l'Enquête Publique sur l'Étude d'Impact et le projet de Dossier de réalisation de la ZAC DES BAS-HEURTS

Publié le par ADIHBH-V

Plus que quelques jours pour l'Enquête Publique sur l'Étude d'Impact et le projet de Dossier de réalisation de la ZAC DES BAS-HEURTS

PLUS QUE QUELQUES JOURS !

 

POUR DONNER VOTRE AVIS,


(JUSQU'AU 12 NOVEMBRE)


SUR L'ÉTUDE D'IMPACT


ET LE PROJET DE RÉALISATION


DE LA ZAC DES BAS-HEURTS

Plus que quelques jours pour l'Enquête Publique sur l'Étude d'Impact et le projet de Dossier de réalisation de la ZAC DES BAS-HEURTS

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