Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

290 articles avec lettre de l'adihbh-v

Grand Paris Express jusqu'à Noisy le Grand

Publié le par ADIHBH-V

 

GRAND PARIS EXPRESS :

FEU VERT

POUR LA LIGNE 15 SUD

_________

 

 

 

GPE--photo-1.jpg 

 

Le 15 juillet 2013, le conseil de surveillance de la Société du Grand Paris (SGP), a voté à l’unanimité l’investissement pour la ligne 15 Sud du futur métro automatique, qui reliera le Pont-de-Sèvres (Hauts-de-Seine) à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) qui coûtera 5,3 milliards d’euros.

Cet investissement vient de permettre à la SGP d’attribuer les premiers marchés de maîtrise d’œuvre et d’assistance à maîtrise d’ouvrage. Ces marchés vont de la conception, à la mise en service. Ils représentent un montant d’environ 300 millions d’euros.

Deux groupements composés d’ingénieristes et d’architectes, l’un emmené par SYSTRA sur le lot Est Noisy-Champs – Villejuif Louis Aragon (21 km, 7 gares), l’autre par SETEC sur le lot Ouest Villejuif Louis Aragon – Pont de Sèvres (12 km, 7 gares), ont remporté les marchés de maîtrise d’œuvre, d’études et de travaux des ouvrages de génie civil et des aménagements nécessaires à la réalisation des deux tronçons, qui constituent la ligne 15 Sud.

La Société du Grand Paris a choisi des groupements d’entreprises expérimentés dans la réalisation de projets de transport ferroviaire urbains ou de grande vitesse en France et à l’étranger, capables à la fois d’affronter les complexités techniques de la ligne 15 Sud du Grand Paris Express et de proposer une approche architecturale et urbaine de qualité pour les gares. L’enjeu est de taille, puisqu’il faudra livrer les gares, les tunnels et les ouvrages annexes dans le respect des coûts et des délais, pour une mise en service à l’horizon 2020, a expliqué Etienne Guyot, le Président du directoire de la Société du Grand Paris.

Les gares de Villejuif Institut Gustave Roussy et de Noisy Champs feront l’objet d’une consultation de maîtrise d’œuvre architecturale séparée, dont les lauréats seront désignés à la fin du mois de septembre 2013.

Les premières acquisitions foncières sont en cours. Pour ce tronçon, la SGP doit acquérir 1800 parcelles dont 95% en profondeur. Le chantier du Grand Paris Express devrait créer entre 15.000 et 20.000 emplois par an.

 

Enquête publique

   

GPE-photo-2.jpg

 

L’enquête publique démarrera le 7 octobre jusqu’au 18 novembre 2013 inclus.

Pour Noisy-le-Grand, des permanences avec le Commissaire Enquêteur seront organisées à l’Hôtel de ville, Direction de l’Urbanisme et de l’Aménagement, le samedi 12 octobre de 9h à 12h, le mardi 5 novembre de 14h à 17h et le vendredi 15 novembre de 9h à 12h.

Une réunion publique sera organisée le jeudi 14 novembre à l’Espace Michel Simon, 36 rue de la République, à 20h30.

Les habitants pourront consulter le dossier d’enquête publique et donner leur avis sur le projet dans les Mairies et les Préfectures concernées. Par ailleurs, pendant toute le durée de l’enquête, le dossier sera mis à la disposition du public sur le site internet de la Préfecture de la région Ile-de-France, à l’adresse :

http://www.ile-de-france.gouv.fr/enquetepubliquelignerouge15sud 

_____



Insécurité à Noisy le Grand. Des réponses pour les Bas Heurts ?

Publié le par ADIHBH-V

 

 

LA PROTECTION CITOYENNE

DOIT-ELLE S’INVITER SUR LES BAS HEURTS,

À NOISY-LE-GRAND ?

______

 

Photo Initiative Protection Citoyenne-Lachapelle

 

 

 

 

Las des cambriolages, avec plus de 10 effractions  en quelques mois, les citoyens des Bas-Heurts en ont ras le bol. Cette augmentation d’actes délictueux sur le quartier est inquiétante, c’est insupportable ! Face à ce fléau, Noisy-le-Grand ne dispose que des forces et des faiblesses de la Police Nationale et d’une douzaine de Policiers Municipaux, pour 63 000 habitants (à Bry-sur-Marne, pas de Police Nationale, mais 42 Policiers Municipaux pour 18 000 habitants.

 

Une étude de sécurité (réf : PC 16) réalisée en 2012 dans le cadre du permis de construire du Collège International sur Maille Horizon-Nord (1), mentionne que les cambriolages représentent sur le secteur nord-ouest de la commune, la catégorie la plus représentée et connaissent une augmentation continue sur les dernières années ; soit : 17 cambriolages en 2009, 27 en 2010 et 30 en 2012.

 

Tableau délinquence de proximité

 

Cette étude précise également que les vols et cambriolages constitueront un risque non négligeable pour ce collège, en raison de la présence de matériels à forte valeur au sein de cet établissement, comme par exemple la salle multimédia du rez-de-chaussée. Enfin, il est aussi précisé que la situation du collège, à proximité immédiate d’un parc, entraînera des risques qu’il convient de souligner. Cet espace vert sera un vaste endroit sans surveillance, sans aucun flux de véhicules, ce qui peut créer un lieu prisé par des personnes mal intentionnées (bagarres, trafics et consommation de stupéfiants,…..). Cependant, de mémoire, il semblerait que lors des réunions publiques le Maire ait annoncé la présence de caméras de  vidéosurveillance et la clôture du parc.

 

En quoi consiste le dispositif "voisins vigilants" ?

Après avoir expérimenté ce « dispositif de participation citoyenne » dans plusieurs départements, il s’est généralisé sur l’ensemble du territoire national, conformément à la circulaire du 22 Juin 2011 émise par le précédant Ministère de l’Intérieur. Les « voisins vigilants » gagnent du terrain, plus de 1000 communautés y seraient à ce jour associées, selon le portail voisinsvigilants.org.

A cette époque, le Ministre Claude Guéant précisait que les retours d'expérience mettaient  en évidence une baisse significative de la délinquance d'appropriation dans les secteurs où le dispositif a été mis en œuvre. Certaines communes ont enregistré une baisse de 20 % à 40 % des cambriolages constatés...

Sans tomber dans des extrêmes et la paranoïa, le principe de la « chaine de vigilance » est simple. Il s'agit d'être attentif à des faits inhabituels dans son secteur, puisque chacun a intérêt, quand il est absent, à voir son bien préservé. C’est l’union des habitants d’un quartier autour de valeurs communes de cohésion et de respect.

Ce dispositif permet :

- d’accroître l’efficacité de la prévention de proximité,

-d’améliorer la réactivité des forces de sécurité contre la délinquance d’appropriation,

- de rassurer et protéger la population,

- de constituer une chaîne d’alerte entre les référents de quartier volontaires et les acteurs de la sécurité

- de resserrer les liens sociaux et développer l’esprit civique,

- de renforcer le tissu relationnel entre les habitants d’un même quartier,

- d’encourager les habitants à la réalisation d’actes de prévention élémentaires.

 

Un outil efficace pour lutter contre les atteintes aux biens. 


L’efficacité de ce concept suppose :

- l’entretien d’un dialogue constant entre des référents et la population et des échanges réguliers entre ceux-ci, la Police Nationale et Municipale,

- l’intervention pertinente des forces de l’ordre en fonction des informations reçues,

- la communication périodique des forces de sécurité sur certaines mesures de prévention et sur certains faits ou phénomènes de délinquance,

- le retour d’expérience régulier entre les différents acteurs.

 

Le rôle du référent.


Fondé sur la solidarité de voisinage, des référents volontaires contribuent à la vigilance collective à l’égard des comportements et événements suspects. Ils diffusent l’information vers les habitants de leur quartier et la remonte vers les forces de sécurité. A contrario, la police, en liaison étroite avec le maire, alerte les référents de la détection de faits ou de phénomènes particuliers visant un quartier ou un secteur considéré.

 

Le rôle du Maire de la commune.


Le Maire est l’acteur clé de la sécurité publique et de la prévention de la délinquance sur son territoire. Il est chargé en collaboration étroite avec la police de la mise en œuvre de l’animation et du suivi de ce dispositif. Cet outil le renforce dans son rôle de pivot de la politique de prévention de la délinquance.

 

Et demain, pourquoi pas sur le quartier des Bas-Heurts ?


Ce concept de « voisins vigilants » repose sur un partenariat entre les services de l’Etat (préfecture, police, ….), les communes et les habitants. Face à la montée inquiétante d’actes délictueux, la réflexion sur la mise en œuvre du concept « Voisins vigilants » se pose aujourd’hui sur le quartier restreint des Bas-Heurts. L’ADIHBH-V devrait elle promouvoir cette initiative ?

Nos statuts nous le permettent (2).

________

(1)-Il est vraisemblable que ces chiffres sont inférieurs à la réalité, car il est communément admis par les experts que de nombreuses victimes ne déposent pas plaintes.

(2) - Objet de l'Association ADIHBH-V :

 

L'objet de l'Association est d'assurer aux administrés et / ou aux contribuables du quartier des Bas Heurts – La Varenne à NOISY-LE-GRAND, adhérents de l'ADIHBH-V, la défense de leur environnement, d'éviter toute implantation, toute spoliation et / ou expropriation, tout projet ou toute manifestation apportant quelque nuisance que ce soit, et de favoriser toute initiative visant à améliorer le cadre de vie et la sécurité des riverains.

 

 

 

 

 

 

La Justice à parlé à Noisy le Grand !

Publié le par Alain CASSE

 

LA JUSTICE A PARLÉ.

 LA LIBERTÉ D’EXPRESSION

EST À L’HONNEUR

À NOISY-LE-GRAND !

 

 

PLACIDE - 1 

  Cette fois-ci, c’est le citoyen qui pèse le plus lourd

 

 

J’ai été entendu par la justice. Le  Mercredi 26 juin 2013, la Cour d’Appel de VERSAILLES, a débouté Michel Pajon, Député-maire de Noisy-le-Grand  de sa plainte en « diffamation publique envers un citoyen chargé d’un mandat public », et relaxait le Président de l’ADIHBH-V.

 

Les Magistrats de la Cour d’Appel de Versailles déclarent  que le message incriminé est tenu par un internaute sur le blog d’une Association de Citoyens habitant Noisy-le-Grand, dans le cadre d’un débat politique et démocratique autour de la vie de leur Commune. Dès lors, il ne peut être considéré que comme une expression du doute de ces derniers sur la compatibilité des différentes fonctions exercées par leur élu (député-maire), par rapport à l’Intérêt Général, et en particulier l’intérêt des personnes les plus démunies. Et donc comme ne dépassant pas les limites de la critique admissible à l’égard d’un homme politique qui doit montrer, dans un tel contexte, une plus grande tolérance, et comme ne constituant donc pas une atteinte à l’honneur et à la considération de Michel PAJON .... ».

 

Les Juges de Versailles expliquent très concrètement qu’il n’y a pas  diffamation dans cette affaire! C’est donc la victoire de la liberté d’expression.

   

Le droit de s’exprimer, c’est le droit de dire ce que l’on pense, et de le publier. La liberté d'expression est le droit pour toute personne de penser comme elle le souhaite et de pouvoir exprimer ses opinions par tous les moyens qu'elle juge opportun, dans les domaines de la politique, de la philosophie, de la religion, et de la morale… Elle est également un élément indispensable à l’existence même de toute société démocratique. La liberté d'expression est inscrite dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (ONU, 1948, article 19).

 

En fait, même si Michel Pajon est un adepte de la  plainte en « citation directe » (1), dorénavant,  l’Édile de Noisy-le-Grand et plus largement d’autres élus, devront admettre que désormais un mandat public temporaire ne permet plus une installation au pouvoir avec mise à disposition de tous  les leviers de commande, y compris de la justice aux frais des contribuables.

Le succès électoral ne justifie pas tous les moyens, car ce n’est simplement qu’une délégation de mandat. C’est le commencement d’un contrôle continu du pouvoir et de la libre expression par les citoyens. Ceci est l’ultime contre-pouvoir aux dérives éventuelles pour abus de pouvoir.

 

Bien évidemment, aujourd’hui l’avènement de la toile est un véritable poison pour ces élus qui ne peuvent plus rien contrôler. Car avec internet toute communication  ressurgit implacablement des ténèbres. Dans la durée, tout ressort, même ce que l’on voulait cacher et vient un jour ou l’autre crucifier le truqueur ou l’amnésique.

 

Toutefois, Michel Pajon ne parvenant pas à admettre cette décision de la justice républicaine, il y aura une suite !

   

Le lundi 1er juillet 2013, Alain Cassé et l’ADIHBH-V recevaient la notification d’un nouveau Pourvoi en Cassation de Michel PAJON. C’est la troisième fois que ce dossier retournera devant la plus haute juridiction de l'ordre judiciaire français. Voilà comment on encombre abusivement les tribunaux. Cet acharnement juridique est d’une insupportable brutalité. C’est devenu après 6 ans de procédures juridiques purement et simplement insoutenables.

 

Or, en quoi ai-je démérité ? En quoi ne suis-je pas recommandable ?

 

Mon délit, c’est tout simplement d’être le Président de l’ADIHBH-V, une Association de Défense  d’un quartier de Noisy-le-Grand. Mais le droit d’Association est un principe fondamental reconnu par les lois de la République (Décision du Conseil constitutionnel français du 16 juillet 1971). Je  ne fais donc que mon « Métier de Citoyen ».

 

Évidemment, je ne suis pas l’auteur du message incriminé, Par contre, la responsabilité de l’auteur identifié du commentaire litigieux n’a jamais été recherchée par Michel Pajon. Mais il fallait se « payer » exclusivement sur Alain Cassé,

J’ai décohabité du Sud Ouest à l’âge de 20 ans, comme beaucoup de Parisiens, sans remord  et pour mon plus grand bonheur puisque les voyages forment la jeunesse.

Je n’ai jamais hérité et n’ai jamais dépensé un franc, puis un euro que je n’ai gagné avec la dextérité de mes mains et la créativité de mes neurones.

Je me situe sans honte mais sans fierté excessive dans cette "classe moyenne française" qu'on souhaite faire disparaître, puisque le dogme technocratique de Bercy semble préconiser que chaque problème trouve sa solution dans une hausse d'impôts. 

Mais je ne suis pas non plus un profiteur. Je ne suis le protégé de personne sauf celui des adhérents de l’ADIHBH-V, auquel j’exprime toute ma gratitude pour leur soutien tout au long de ce marathon juridique infernal.

Je n’ai jamais reçu d’argent public. Je n’ai jamais « bamboché » aux frais de la Commune de Noisy-le-Grand et de la République.

Je n’ai jamais volé quelque chose à quelqu’un. J’ai toujours payé mes impôts sans un seul jour de retard, sans jamais être remercié.

Je contribue régulièrement au financement des «pince-fesses » de la commune au moment des vœux annuels, ou l’on omet régulièrement, en tant que président de l’ADIHBH-V, de me convier.

Je ne fréquente pas de paradis fiscaux, contrairement à un ancien Ministre du Gouvernement.

Depuis 43 ans, la même épouse m’accompagne et me supporte,  il lui faut beaucoup de courage, merci à elle.

J’ai élevé et éduqué de mon mieux mes deux enfants. J’adore et bichonne mes deux petites filles, comme tous les grands parents.

Je suis devenu primo-accédant  à l’âge de 40 ans, après avoir pratiqué l’ascenseur social, avant de devenir en septembre 2004 le « nanti des Bas-Heurts », après 14 ans de bail chez Emmaüs (6 ans à Bobigny, et 8 ans à Noisy-le-Grand Cité des Hauts Bâtons).

Je possède donc aujourd’hui un petit « ç’a m’suffit » sur le quartier, de 40 m2 au sol, sur un terrain de 250 m2, sur lequel j’ai aménagé des massifs de terre de bruyère, et planté des arbres. Mes six pommiers en « double palmette verrier » sont remarquables et font l’admiration de tous les passants.

 

Jardin-2

 

Pommiers en « double palmette verrier »

 

Jardin-3                                                   Jardin-4 

       Azalée mollis                                                                   Clématite « Montana »

 

Je possède également un petit appartement dans la ville rose, que je loue, pour arrondir ma retraite. Retraite calculée sur les 25 meilleures années de ma carrière professionnelle dans le secteur privé. Retraite bien modeste à côté de celle d’un parlementaire  professionnel qui touchera une pension de près de 1.200 euros après seulement un premier mandat de cinq ans.... Soit un montant quasi équivalent à celui de la pension médiane touchée par les Français (environ 1.300 euros), après une carrière complète.

Je n’ai pas mon baccalauréat, donc je n’ai pas fréquenté la Sorbonne des "élites" politiques et encore moins l’ENA.

Par contre, je suis un pur produit de la « méritocratie ». Je suis un expert en promotion sociale, du Certificat d’Aptitude Professionnelle (CAP) au Diplôme d’Ingénieur du Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) avec mention, après 13 ans de labeurs en cours du soir, tout en étant marié et avec deux enfants,

J’ai mes opinions politiques, mais je suis un adepte de la politique citoyenne. Je n’ai adhéré qu’au parti des besogneux qui se lèvent tôt pour travailler.

J’ai dédié ma carrière professionnelle à la formation professionnelle des citoyens (du CAP à l’Ingénieur) et à la Recherche et Développement (R&D) dans le monde du Soudage, pendant 42 ans, dans un Centre Technique  Privé de la Métallurgie.

J’ai contribué à honorer ces travailleurs manuels  qui s’illustrent avec la « virtuosité de la main », en tant que Président de la catégorie Soudage du Concours de l’Un des Meilleurs Ouvriers de France (MOF), pendant 15 ans.

J’ai accompagné et perfectionné l’excellence de jeunes apprentis valeureux issus des Collèges Techniques, de l’Apprentissage et de l’Alternance, sur quatre Olympiades des Métiers (Taïwan-1993, Lyon-1995, Montréal-1999, Séoul-2001) en tant que membre de l’Equipe de France des Métiers, et Expert Français en Soudage.

Je  contribue au soutien du logement social avec mon Livret A d’épargne, qui me rapporte des clopinettes, au taux de 1,25%, depuis le 1er août 2013.

Je soutien l’économie productive avec mon Plan d’Epargne en Action (PEA), contrairement aux hommes politiques et aux Ministres  qui investissent massivement dans l’immobilier. C'est-à-dire que leur patrimoine est improductif pour l’industrie française. Par contre, en 7 ans, le patrimoine immobilier de ces initiés s’est bonifié de 140%, alors que sur la même période, mon portefeuille boursier placé dans l’industrie française, perdait 40%.

Alors que je suis le plus grand persécuté judiciaire de Noisy-le-Grand depuis 2007, mon casier judiciaire est toujours vierge. Mon courage est intact, c’est la raison pour laquelle j’ai choisi l’honneur de la résistance citoyenne plutôt que la faiblesse opportuniste de la soumission, car à un certain moment il faut savoir dire NON, pour conserver sa dignité, montrer le chemin de la liberté d’expression et du respect des citoyens.

Ainsi, je refuse d’être culpabilisé par un citoyen chargé d’un mandat public,  dont le métier est de faire de la politique politicienne. Alors qu’après trois Cour d’Appel, je vais me retrouver pour la troisième fois devant la Chambre Criminelle de la Cour de Cassation, je suis toujours inlassablement à la recherche de MON PREMIER CRIME…….

Même si le parcours est difficile et ingrat, quoiqu’il m’en coûte, entre soumission et résistance, j’ai fait le choix de résister.  Toutefois, si Michel Pajon le décide, la discussion sur la problématique de l’urbanisation des Bas-Heurts est toujours envisageable et serait même la bienvenue..…

  

 

Alain Cassé

Président de l’ADIHBH-V

Chevalier dans l’Ordre du Mérite National,

Chevallier dans l’Ordre des Palmes Académiques,

Médaille d’Or de l’Enseignement Technique.

 

 

(1) - Ce qui permet au Maire de convoquer directement l’auteur présumé d’une infraction au tribunal correctionnel, sans passer par la case Juge d’Instruction qui pourrait classer la plainte sans suite.

_____________________________________________________________________

PS : Cet article a été révisé le 12 mai 2019, suite à un avertissement de la  fondation BETTENCOURT SCHUELLER .
 

Voir nos billets:

du 05/05/2019
La notion et l'expression de l'excellence du travail manuel devraient elles être l'apanage de la fondation BETTENCOURT SCHUELLER (1) ?
et du 09/05/2019
La fondation BETTENCOURT SCHUELLER veut interdire à l'ADIHBH-V d'utiliser des expressions du langage courant (2)

Questions sur l'enquête de satisfaction des Noiséens sur la vie à Noisy le Grand.....

Publié le par ADIHBHV

 

  ENQUÊTES DE SATISFACTION

 

  À NOISY-LE-GRAND, POSONS LES BONNES QUESTIONS !

 

 

 

Sondage-d-opinion-Photo1.jpg

 

 

Depuis  1997, la ville de Noisy-le-Grand charge un Institut de Sondage de réaliser auprès des Noiséens, une enquête de satisfaction sur l’action municipale. Réalisée en décembre 2012 par IPSOS, cette dernière étude révèle que 87% des Noiséens sont satisfaits de vivre à Noisy-le-Grand. Pourquoi pas, puisque ce fut même une surprise pour le Maire. Mais attention, à ce rythme, à force de sonder l’édile va trouver du gaz de schiste…

 

Au Vrai Journal de Noisy-le-Grand, c’est chaque année pour nous une stupéfaction jamais apprivoisée de constater que la « mariée n’est jamais trop belle » ! La question de la vérité en politique nous rend suspicieux. Nous avons bien conscience que nous vivons en démocratie médiatique, et que notre système politique est entièrement fondé sur la conquête de l’opinion à tout prix. Ainsi, les conseillers en communication, les agences, les organismes de sondage travaillent «sur commande». La clé du succès est d’impressionner, d’exciter. Le sondage d’opinion doit faire gagner des points à force de bluff, d’habileté des prestidigitateurs et parfois même en habillant la vérité (1). Ils sont en politique comme au spectacle, il faut épater, aux frais du contribuable.

 

Néanmoins, si nous considérons dans notre inconscient collectif que tous ces séducteurs risquent de nous "embobiner", il est d’autant plus nécessaire que les citoyens exercent un contrôle démocratique des annonces. Ici, c’est d’autant plus opportun que « 87% des Noiséens seraient satisfaits de vivre à Noisy-le-Grand », alors que depuis 1990, le solde migratoire est négatif sur la ville. Sur la période 2002 -2007, 14600 personnes sont venues s’installer à Noisy-le-Grand et 15400 personnes ont quitté la ville sur la même période. Même si les bords de Marne sont magnifiques, Noisy-le-Grand n’est qu’une étape dans le parcours résidentiel de certains ménages. En fait, l’origine des récents emménagés sont majoritairement de jeunes couples en provenance des arrondissements situés au Nord et à l’Est de Paris (11e, 12e, 13e, 18e, 19eet 20e arrondissements), compte tenu du prix des loyers parisiens ou du coût des acquisitions lorsque vous êtes primo-accédant (2). Selon le Vrai Journal, ce choix de résidence n’aurait  donc pas forcément pour seule origine le « mieux vivre » à Noisy-le-Grand, lorsque nous connaissons les problèmes de circulation et de stationnement.

 

En outre, aux dernières élections municipales de mars 2008, Michel Pajon a été élu avec seulement 22,9% des électeurs inscrits. Pire, sur les quatre bureaux de La Varenne (9-10-21 et 29), le Maire récolte 14,7% des inscrits ! Avec une telle performance, il serait judicieux d’expliquer aux citoyens comment l’on peut arriver à 87% de Noiséens satisfaits. Des interrogations subsistent : combien de sondés sur ce quartier ? Quelle a été la méthode utilisée ?

 

 

Donc, armé de notre bonne conscience  citoyenne, dès le 12 févier 2013 nous avons sur le fondement de la Loi n°78-753  du 17/07/1978, sollicité le Maire afin d’obtenir communication de l’intégralité du sondage d’opinion en question, publié partiellement dans le n° 190 (février 2013) de Noisy Magazine. Sans réponse, nous avons réitéré notre demande à plusieurs reprises par courriel, sans plus de succès !

 

Refusant d’être uniquement auditeur  de la communication municipale, le 12 mars 2013, l’ADIHBH-V a saisi la Commission d’Accès aux Documents Administratifs (CADA), afin que cette dernière se positionne sur ce refus de communication du  Maire de Noisy-le-Grand. Le jugement de la CADA n° 20131665 du 25 avril 2013 est édifiant, à savoir : «  La commission considère que le rapport établi par un prestataire extérieur, auquel la commune a demandé de réaliser une enquête de satisfaction auprès de ses habitants, est un document administratif communicable dans son intégralité, à toute personne qui en fait la demande en application de l’article 2 de la Loi du 17 juillet 1978 ».

 

La CADA émet donc un avis favorable à la demande de l’ADIHBH-V. Ceci dit, à ce jour nous n’avons toujours pas communication de ce fameux sondage. À Noisy-le-Grand la démocratie est équivoque . Elle refuse d’éclairer les citoyens, elle ignore la mise à disposition de l’intégralité d’éléments de connaissances qui pourraient illuminer les décideurs, c'est-à-dire les électeurs. Et pourtant ce serait  le minimum que l’on devrait exiger du débat public !

 

La Commission des Sondages du Conseil d’Etat, nous signale dans son courrier du 26 février 2013, qu’en l’espèce : « si la publication de cette étude (sondage d’opinion de décembre 2012 ) ne paraît pas dépourvue de tout lien avec l’élection municipale de mars 2014, elle ne relève toutefois pas du champ de l’article 1er de la Loi de 1977, en ce qu’elle ne comprend ni intention de vote, ni souhait de victoire, non plus qu’aucune comparaison de notoriété de candidats réels ou supposés ».

 

Et voilà, avec un système politique entièrement fondé sur la conquête de l’opinion, le succès électoral justifie tous les moyens, les illusionnistes sont passés par là. Pour reprendre l’expression de Martine Aubry, lors des primaires Socialistes : « Lorsque c’est flou, il y a un loup ». Face à ce nouvel  abus outrecuidant (3), les électeurs jugeront………

 

Le sondage IPSOS de décembre 2012

 

La publication et la diffusion de tout sondage tel que défini à l'article 1er de la Loi n° 2002-214 du 19 février 2002 doivent être accompagnées, entre autres,  des indications suivantes, établies sous la responsabilité de l'organisme qui l'a réalisé, soit : la méthode utilisée ; les moyens ; le nombre des personnes interrogées (sexe, âge, profession du chef de ménage) ; la ou les dates auxquelles il a été procédé aux interrogations. En l’espèce, la publication de ce sondage IPSOS  dans le n°190 de Noisy magazine ne comporte aucune de ces informations. Cela contribue au flou énoncé par Martine Aubry.

Par ailleurs, il faut s'interroger d'une façon générale sur la valeur scientifique d'un sondage. Quelle réalité reflète-il ? Nous présentons ici de possibles sources d'erreurs, de manœuvres intentionnelles ou non, ou encore de mauvaises interprétations.

 

A tout niveau de réalisation d'une enquête, l'objectivité et la valeur des résultats peuvent être mises en cause. Tout d'abord, l'opinion individuelle est difficile à établir. Ensuite, des difficultés apparaissent lors de la construction du questionnaire, pour décrire objectivement, et sans ambiguïté l'opinion des personnes. En effet, il apparaît que dans certains cas, le questionnaire peut influencer les réponses et donc modifier sensiblement les résultats. Enfin, le passage de l'opinion individuelle à une répartition de réponse en pourcentage pose des difficultés. Il en résulte que l'utilisation de résultats d'un sondage n'est pas toujours légitime.

Comment choisit-on les personnes interrogées ?

 

Les personnes interrogées devraient être choisies au hasard par tirage au sort, c'est ce que l'on appelle la « méthode aléatoire ». En France, les Instituts de sondage utilisent la «méthode des quotas». Il s'agit alors d'interroger un échantillon de personnes qui ont les mêmes caractéristiques socio - démographiques que l'ensemble de la population. Les critères sont généralement le sexe, l'âge, la profession, la ville... Cette méthode a l'avantage d'être rapide. L'inconvénient majeur de la méthode des quotas serait de ne pas permettre de calculer scientifiquement la marge d'erreurs (4).


Les sondages par téléphone sont-ils fiables ?

 

Ils réduisent les risques de "bidonnage" des enquêteurs, puisque la vérification de leur travail peut être contrôlée plus facilement. Le sondage téléphonique a cependant l'inconvénient de se prêter difficilement aux enquêtes plus complexes, dans la mesure où il est impossible de soumettre aux sondés, par écrit, une liste d'argument. En fait, le questionnaire doit être simple.

 
Toutefois, ces dernières années, il est apparu qu'environ 50% de la population ne pouvait pas être sondée car, soit elle a seulement un téléphone mobile (surtout les jeunes), soit parce qu'elle n'est pas présente chez elle aux heures où les sondeurs appellent.

 

Comment élabore-t-on un questionnaire d'enquête ?

 

L'élaboration du questionnaire est une phase très importante du sondage. La qualité du questionnaire conditionne largement la pertinence de l'enquête. Certaines formulations sont trop complexes. D'autres peuvent être biaisées, c'est-à-dire que la manière de poser la question influencera plus ou moins fortement la réponse. L'institut de sondage est intellectuellement responsable des questions posées.

Mais il doit souvent résister à la pression de ses clients qui cherchent consciemment ou inconsciemment, à lui faire poser des questions rédigées dans une forme favorable à leurs points de vue.

 

L'honnêteté des réponses ?

 

La critique des sondages montre que l'importance apportée au sondage paraît démesurée en comparaison de la fiabilité des réponses.

Plusieurs phénomènes peuvent concourir à donner des réponses absurdes.

Par exemple (liste non exhaustive) :

 

- les sondés n'ont pas d'idées précises sur les questions et ils répondent au hasard,
- les sondés trouvent le questionnaire trop long, et répondent au plus vite pour abréger la douleur,

- les sondés répondent en fonction des idées qui circulent dans leur proche

entourage,
- les sondés anticipent le résultat du sondage et répondent en fonction des résultats qu'ils aimeraient voir publier,

- les sondés n'assument pas la réalité de leur opinion et préfèrent déclarer quelque chose de consensuel…

 

Peut-on faire dire n'importe quoi aux sondages ?

 

Avec une parfaite bonne foi, il est toujours possible de faire dire n'importe quoi aux chiffres en général, et aux sondages en particulier. Un sondage réalisé dans des conditions fantaisistes et basé sur un questionnaire biaisé a toutes les chances d'aboutir à des résultats peu significatifs.

 

En conclusion, il est évident que  depuis des années, le Maire ne souhaite pas communiquer l’intégralité de ses sondages d’opinion. Au lieu de privilégier un résultat électoral à court terme, il ferait mieux de promouvoir une pédagogie de la vérité.

 

_______

 

 

Contribution bibliographique :

 

-        De la vérité en politique, François BAYROU, mars 2013, chez PLON,

-        Courrier du Conseil d’Etat, 26 février 2013,

-        Jugement CADA du 25 avril 2013,

 

1- Quelques souvenirs : Dépôt de bilan de la Société DUTHEIL, constructeur du Centre aquatique ; programme immobilier des Epinettes ; versement de 100 000 € de la SOCAREN à Jules Vernes Développement (JVD), au titre de l’indemnité de résiliation de contrat anticipé ; et les embrouilles du projet de la Mairie sur le Pavé Neuf en 2008, qui n’ont jamais été évoqué par Le Vrai Journal de Noisy-le-Grand ;…….

 

2- Plan Local de l’Habitat (PLH) 2012 – 2018, adopté,

 

3- Déjà en mars 2006, Le Vrai Journal de Noisy-le-Grand sollicitait le Maire afin d’obtenir la communication du sondage Sofres réalisé entre le 12 et le 15 décembre 2005. Dans sa réponse du 23 mars 2006, Michel Pajon nous informait qu'il saisissait la Commission d'Accès aux Documents Administratifs (CADA), afin que cette dernière lui précise si l'ensemble des éléments pouvaient être communiqué. Le 20 juin 2006, la CADA confirmait que ce document administratif était communicable de plein droit à toute personne qui en faisait la demande, en application de l'article 2, de la loi du 17 juillet 1978. Le 23 juin 2006, nous réitérions notre demande auprès de Monsieur le Maire, mais sans plus de succès.

 

4- A l’ADIHBH-V, nous ne connaissons personne du quartier de La Varenne, qui a été sondé

 

Justice à Noisy le Grand : Michel Pajon débouté !

Publié le par ADIHBHV

Justice à Noisy le Grand :

Michel Pajon débouté,

Alain Cassé libéré !

 

 

 

cour-d--appel_2.jpg 

 

 

Après une Question de Priorité Constitutionnelle (QPC du 16 septembre 2011) devant le Conseil Constitutionnel, la Cour de Cassation cassait le jugement de la Cour d’Appel de ROUEN, qui condamnait Alain Cassé en tant que « Producteur du blog http://www.noisy-les-bas-heurts.com, et le renvoyait pour la troisième fois devant une Cour d’Appel : VERSAILLES cette fois-ci.

 

Aujourd’hui, Alain Cassé se dit satisfait d’avoir pu « être entendu par la justice ». En effet, le  Mercredi 26 juin 2013, la Cour d’Appel de VERSAILLES, déboutait Michel Pajon, Député-maire de Noisy-le-Grand  de sa plainte en « diffamation publique envers un citoyen chargé d’un mandat public », et relaxait Alain Cassé, en confirmant le jugement du 14 mars 2008, devant la 17e Chambre Correctionnelle (Chambre de la Presse), du TGI de Paris.

 

Au motif sur le caractère diffamatoire

des propos visés dans la citation.

(Extrait)

 

« …Etant rappelé que le message retenu comme contraire à l’honneur et à la considération de Michel PAJON, par les premiers juges prend place dans un blog d’une Association de Citoyens habitant une Commune dont Michel PAJON est le Maire ; participant en tant que tel au débat politique et démocratique, il est rappelé que dans un tel cadre, les limites de la critique admissible sont plus larges à l’égard d’un homme politique, visé en cette qualité, que d’un simple particulier.

 

A la différence du second, le premier s’expose inévitablement et consciemment à un contrôle attentif de ses faits et gestes tant par les journalistes que par la masse des Citoyens. Il doit, par conséquent, montrer une plus grande tolérance.

 

En l’espèce, le passage du message publié sur le blog de l’Association de Défense des Intérêts des Habitants des Bas-Heurts-La Varenne et attaqué par la partie civile est le suivant :

 

« Par ailleurs, Mr PAJON cumule plusieurs mandats (député, maire), sont-ils compatibles avec d’autres fonctions (dans l’immobilier par exemple) ? Ne confond-il pas intérêts personnels et spoliation des « petites gens » ?

 

Il sera constaté en premier lieu que le message incriminé a été rédigé par un habitant de Noisy-le-Grand, Mr AG est médecin. (ndlr : En fait, AG réside dans le 92, et exerce la profession de Chercheur, spécialisé en Cancérologie, dont la réputation et l’honneur sont bien établis). Il ne pourra être contesté en second lieu que le passage du dit message, tel que visé dans la Citation, n’émet qu’une seule affirmation : celle selon laquelle Michel PAJON cumule les mandats (député-maire), conforme à la stricte réalité.

 

Considérant que Mr AG pose ensuite une première question : sont-ils compatibles avec d’autres fonctions (dans l’immobilier par exemple) ; qu’une telle interrogation relative aux conflits d’intérêts susceptibles d’être entraînés par l’exercice cumulatif de certaines activités par un même élu, peut à juste titre être soulevée par tout Citoyen dans une démocratie. Qu’une seconde question est ensuite posée : Ne confond-il pas intérêts personnels et spoliation des petites gens ? Que si le terme de spoliation contenu dans ces derniers propos relève, sans nul doute, d’une connotation péjorative, il sera constaté néanmoins que ceux-ci demeurent sous la forme d’une interrogation et non d’une affirmation, encore moins d’une accusation.

 

De rappeler qu’ils sont tenus par un internaute sur un blog d’une Association de Citoyens habitant Noisy-le-Grand, dans le cadre d’un débat politique et démocratique autour de la vie de leur Commune et que, dès lors ils ne peuvent être considérés que comme une expression du doute de ces derniers sur la compatibilité des différentes fonctions exercées par leur élu (député-maire), par rapport à l’Intérêt Général, et en particulier ) l’intérêt des personnes les plus démunies, comme ne dépassant pas les limites de la critique admissible à l’égard d’un homme politique qui doit montrer, dans un tel contexte, une plus grande tolérance, et comme ne constituant donc pas une atteinte à l’honneur et à la considération de Michel PAJON ?.... »

 

Michel Pajon ne parvenant pas à mettre un terme au litige,

il y aura une suite !

 

Le lundi 1er juillet 2013, Alain Cassé et l’ADIHBH-V recevaient  la notification d’un nouveau Pourvoi en Cassation de Michel PAJON.

 

C’est la troisième fois que ce dossier retournera devant la plus haute instance juridictionnelle nationale. Manifestement pour ce Citoyen chargé d’un Mandat Public « temporaire », c’est l’affaire du siècle. Cet acharnement juridique de la part de l’Edile de Noisy-le-Grand est affligeant, car :

 

  • Le Président de l’ADIHBH-V ne fait finalement que son « Métier de Citoyen ».

 

  • La responsabilité de l’auteur identifié du commentaire n’a jamais été recherchée par Michel Pajon. Il fallait se concentrer exclusivement sur Alain Cassé,

 

  • C’est délibérément dans le but de porter atteinte au fonctionnement d’une Association contestataire à ses projets urbains, qui mettait en lumière les nombreux contentieux administratifs défavorables dans ses dossiers, que Michel Pajon n’a, à aucun moment, cherché à obtenir le retrait du commentaire incriminé. C’est la raison pour laquelle Michel Pajon a laissé perdurer le commentaire en cause de nombreuses semaines, démontrant par là même le peu d’urgence que la situation lui inspirait.

 

  • Michel Pajon pensait ainsi se trouver en position de force, en asséchant financièrement les ressources de l’Association ADIHBH-V,

 

A suivre…..

 

 

<< < 10 20 30 40 50 51 52 53 54 55 56 57 58 > >>