"Super Métro Express" : donnons notre avis

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DONNONS NOTRE AVIS SUR LES GARES DU « SUPERMETRO EXPRESS »

  Super métro - Photo 1

 

La Société du Grand Paris (SGP) lance 21 réunions de concertation tout au long des 33 km du tronçon sud de la ligne rouge du supermétro (Pont-de-Sèvres – Noisy-le-Grand). Une enquête publique devrait être mise en place d’ici la fin de l’année.

Doté de 16 gares, le tronçon sud dont les études sont à ce jour les plus avancées, concerne plus d’un million d’habitants et doit permettre, selon la SGP, le déplacement quotidien de quelques 300.000 franciliens.

Ces réunions ressembleront beaucoup aux débats publics organisés il y a deux ans. D’une durée variant entre deux heures et deux heures trente, elles débuteront par un film présentant  le projet du Grand Paris Express, du réseau général à la gare concernée.

L’objectif de ces nouvelles réunions publiques, est d’informer, d’expliquer, de répondre aux questions des différents publics et bien entendu de pendre en compte les observations formulées. Ca concerne aussi bien les habitants, les élus, les entreprises et les associations. Ces réunions feront l’objet d’une synthèse qui viendra compléter le dossier d’enquête publique.

La gare du supermétro de NOISY-CHAMP

Super métro Photo 2

La gare de Noisy – Champs est localisée à la limite entre les communes de Noisy-le-Grand et Champs-sur-Marne, sous le boulevard du Ru-de-Nesle. La gare permet la correspondance avec la ligne A du RER et avec la future Ligne Orange du Grand Paris Express.

Un emplacement choisi pour et avec les villes

Le choix du site s’est fait en collaboration avec les communes de Noisy-le-Grand et Champs-sur-Marne. Trois scénarios d’implantation de la gare souterraine ont été étudiés. La solution retenue offre une bonne desserte des quartiers qui l’entourent. La gare se situe à proximité de zones commerciales et de logements, de zones d’activités universitaires, d’enseignement supérieur et de bureaux.

La gare routière et les parcs-relais existants sont à proximité immédiates et la correspondance avec le RER A sera optimisée. Enfin, cette solution permet d’envisager un développement commercial et urbain, connecté avec la cité Descartes située au sud de la gare et avec les quartiers voisins.

Chiffre clé :

23 000 : c’est le nombre d’habitants  dans un rayon de 1 000 mètres autour de la gare de Noisy – Champs.

Des transports connectés et rapides :

La gare de Noisy – Champs est en correspondance avec le RER A et avec les lignes de bus 212, 213, 312 et  320. La future Ligne Orange du Grand Paris Express offrira une connexion supplémentaire.

 

La Ligne Rouge Sud permet aux voyageurs de réduire considérablement les temps de trajet, de périphérie à périphérie. À titre d’exemples :

- Noisy – Champs - La Défense : 37 min. contre 45 min. aujourd’hui,

- Noisy – Champs - Roissy : 38 min. contre 1h25 aujourd’hui,

- Noisy – Champs - Orly : 35 min. contre 1h15 aujourd’hui,

- Noisy – Champs - Saint-Denis : 26 min. contre 51 min. aujourd’hui.

La gare en chiffre :

- 4 : c’est le nombre de lignes de bus en correspondance avec la gare.

- 14 mètres : c’est la profondeur à laquelle se trouvent les quais de la gare.

- 2 minutes : c’est le temps de parcours pour rejoindre les quais du RER A.

 

 

Participer aux Réunions Publiques sur la gare de Noisy –Champs :

Le 10 octobre 2012 à 20h à Champs-sur-Marne :

Université Paris-Est-Marne La Vallée - Auditorium Maurice Gross

Bâtiment Copernic du boulevard Descartes – Cité Descartes

_______

 

 

Le 23 octobre 2012 à 20h, à Noisy-le-Grand :

Espace Michel-Simon - Hall Jean-Marais.

36, rue de la République

  

Informez-vous, exprimez-vous. Retrouvez tous les détails sur : http://www.lignerougesud.fr

 

 

Publié dans noisy-les-bas-heurts

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A
<br /> Les Echos, le 13/12/2012, Laurence Albert. Facture salée pour le supermétro du Grand Paris !!!<br /> <br /> <br /> Pascal Auzannet remet son rapport à Cécile Duflot. - DR<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Une addition plus salée que prévue, un paiement étalé dans le temps, et un calendrier de travaux bouleversé. Crise oblige,<br /> Pascal Auzannet a proposé ce jeudi au Gouvernement de revoir ses plans s'agissant de la construction des quatre lignes du supermétro qui doit ceinturer la banlieue parisienne sur 200 km.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Dans un rapport remis à la Ministre de l'Egalité des Territoires, Cécile Duflot, l'ancien patron des RER de la RATP a refait<br /> les comptes : s'il était effectivement réalisé en 2025, le métro ne devrait pas coûter 20,5 mais 30 milliards d'euros. Une inflation qui s'explique notamment par une dérive monétaire (3<br /> milliards), un surcoût dans le tracé « orange » desservant la Seine-Saint-Denis, la connexion au réseau RFF, ou encore l'extension de la ligne 14. L'addition serait alors<br /> essentiellement supportée par l'Etat et les collectivités locales, dont la contribution passerait de 5 à 12 milliards.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Toutefois, cette flambée des coûts « ne remet nullement en cause le principe de<br /> réaliser la totalité du Grand Paris Express », explique Pascal Auzannet. Qui suggère trois scénarios pour sortir de la nasse et contenir les coûts, dont un a visiblement sa<br /> préférence : tabler sur des travaux non plus simultanés mais étalés dans le temps, jusqu'en 2030 au lieu de 2025. Un « phasage » en cinq étapes qu'il justifie aussi par des contraintes<br /> techniques.<br /> <br /> <br /> « En considérant que les travaux se déroulent de 2015 à 2025, cela suppose alors une construction de 18 km par an en<br /> moyenne annuelle. A notre connaissance, un tel rythme n'a jamais pu être constaté en Europe sur une telle période », explique-t-il. En premier lieu seraient privilégiés les tronçons sud (Pont-de Sèvre-Champigny) et nord (Nanterre-Rosny), ainsi que la<br /> liaison entre la gare Saint-Lazare et Pleyel. Les travaux, prévus à horizon 2020 coûteraient 12 milliards d'euros.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Plus inattendu, le rapport suggère dès 2023, de désenclaver la banlieue-est autour de Clichy-sous-Bois (4 milliard) avant de<br /> boucler les arcs en 2026. Ce n'est qu'en toute fin qu'il envisage de relier Saclay à Versailles et de desservir les aéroports, sous réserve « de savoir<br /> ce que les pouvoirs publics décideront concernant le projet CDG Express ».<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Le Gouvernement a fait savoir qu'il rendra ses arbitrages en février 2013, aussi bien sur le supermétro que sur l'amélioration<br /> des transports franciliens existants.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br />
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L
<br /> Le projet du Grand Paris Express a été estimé à 20 milliards d'euros, mais<br /> Jean-Paul Huchon, Président du conseil régional d'Ile-de-France, a évoqué un surcoût de 10 milliards d'euros, à l'occasion de son audition devant la commission du développement durable de<br /> l'Assemblée nationale le 4 décembre 2012.<br /> <br /> <br /> Un surcoût de 10 milliards d'euros qui s'explique d'après lui par les interconnexions, les nouvelles gares, le projet en prévoyant<br /> 72, et les quais qu'il va falloir allonger. Mais l'écart de coûts s'explique aussi par ailleurs. "Il y a une certaine erreur dans le calcul de la Société du Grand Paris (SGP)", a ainsi expliqué<br /> Jean-Paul Huchon, la SGP ayant comptabilisé le montant de sa participation aux travaux, et non le montant du coût total des travaux.<br /> <br /> <br /> Nous voici parti semble-t-il pour un nouveau Flamanville, car d’ici 2025, il peut s’en passer des choses !!!...<br />
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A
<br />  <br /> <br /> <br /> Localtis.info – le 29/10/2012- Anne Lenormand : « Le dossier d’Enquête Publique pour le premier tronçon sud, du Grand Paris, est à revoir ».<br /> Extrait :<br /> <br /> <br /> ‘’’Dans un avis adopté le 24 octobre 2012, l'Autorité environnementale (AE) a jugé que le dossier du premier tronçon de la ligne<br /> rouge du Grand Paris Express, desservant le Sud Francilien (Pont-de-Sèvres – Noisy-Champs), était "actuellement insuffisant pour donner à l'Enquête Publique tout son sens au regard des impacts du<br /> projet". Sur la forme, l'Autorité Environnementale a d'abord regretté un document "très volumineux (environ 5.000 pages en format A3, en 9 sous-dossiers avec annexes et atlas cartographiques<br /> séparés) d'une lecture difficile".<br /> <br /> <br /> Quant au fond, l'Autorité Environnementale estime que "les études préalables sont très inégalement avancées selon les thèmes", et<br /> qualifie "d'insuffisantes" les études "géotechniques, hydrauliques et hydrogéologiques et, pour la phase de chantier, les études relatives aux vibrations et au dispositif d'enlèvement et de<br /> traitement des déblais", qui vont être colossaux au vu de la dimension des travaux.<br /> <br /> <br /> Pour l'Autorité Environnementale, le bilan environnemental du projet résultera donc "d'une part des impacts négatifs de son<br /> insertion locale, mal cernés au stade actuel des études et nécessitant des mesures d'évitement, réduction ou compensation dont beaucoup restent à définir, et d'autre part des impacts positifs<br /> qu'il peut induire sur une meilleure économie dans l'usage des territoires, dans l'ensemble de la région". Des impacts positifs difficilement chiffrables mais qui "peuvent être significatifs si<br /> les politiques publiques dont ils dépendent par ailleurs (aménagement, maîtrise foncière, fiscalité, etc.) le permettent".<br /> <br /> <br /> La Société du Grand Paris (SGP), maître d'ouvrage du projet, a réagi dans un communiqué le 26 octobre 2012. Elle y affirme qu'elle<br /> "prend en considération l'avis pour enrichir son dossier d'enquête publique et en faciliter la lecture". "L'enquête publique devrait ainsi se dérouler selon le calendrier prévu, dans les<br /> meilleures conditions d'information du public", a-t-elle assuré’’’.<br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br />
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A
<br /> GRAND PARIS – Localtis.info le 03/10/2012 – Emilie Zapalski : Valérie Pécresse, chef de l'opposition UMP au<br /> Conseil Régional d'Ile-de-France, y voit tout simplement l'acte de décès du Grand Paris, tandis que Laurent<br /> Lafon, président du groupe UDI à la région, estime que le gouvernement a commis une<br /> erreur stratégique et que c'est inacceptable que l'Etat abandonne les Franciliennes et les Franciliens.<br /> <br /> <br /> Au sein du Medef Ile-de-France, Jérôme Dubus, délégué général, demande à ce que<br /> le gouvernement revienne sur sa décision, au moment des discussions parlementaires du projet de loi de finances, estimant qu’il en va de l'avenir de l'économie de la région capitale.<br /> <br /> <br /> La Fédération Nationale des Travaux Publics craint elle aussi des répercussions sur l'économie. C'est un mauvais signal pour les<br /> entreprises de travaux publics, a-t-elle signalé dans un communiqué diffusé le 2 octobre 2012.<br /> <br /> <br />  <br />
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A
<br /> GRAND PARIS - Localtis.info le 03/10/2012 - Emilie Zapalski: L’absence de la première tranche de la dotation en Capital de la<br /> Société du Grand Paris, équivalente à un milliard d'euros, dans le projet de loi de programmation des finances publiques a fortement fait réagir élus et patronat. Cette dotation doit permettre le<br /> démarrage des travaux sur le Grand Paris Express, la double boucle de métro automatique prévue d'ici 2025.<br /> <br /> <br /> C'est un triple mauvais coup, a affirmé Christian Favier, Président du<br /> Conseil Général du Val-de-Marne. Mauvais coup porté à tous les Franciliens qui vivent en banlieue les difficultés de transport au quotidien, mauvais coup contre un projet indispensable, mauvais<br /> coup enfin pour le développement, l'emploi et la croissance de la région capitale et de l'ensemble du territoire." Christian Favier demande à ce que François Hollande reçoive d'urgence les élus<br /> de la région.<br /> <br /> <br /> De son côté, Patrick Braouezec, Président de Paris Métropole, qui réunit<br /> 202 collectivités d'Ile-de-France, a estimé qu'"il y a là une impérieuse nécessité que ce milliard soit introduit lors des débats." Un milliard nécessaire notamment pour lever les emprunts qui<br /> permettront de réaliser les 200 kilomètres du métro. "L'enjeu n'est pas que francilien : si la région capitale se porte mal, l'ensemble du pays en subira les conséquences", a ajouté le président<br /> de la Communauté d'agglomération Plaine Commune (Seine-Saint-Denis).<br />
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A
<br /> GRAND PARIS - Localtis.info du 03/10/2012 – Emilie Zapalski : Elus et entreprises ont vivement réagi à "la décision du gouvernement ne pas inscrire dans la loi de programmation<br /> budgétaire 2013-2015 le milliard d'euros qui devait constituer la première tranche de la dotation en capital de la Société du Grand Paris (SGP)". Le ministère de l'Egalité des territoires et du<br /> Logement a cherché à les rassurer le 2 octobre, précisant que le Grand Paris se ferait dans les temps. Mais le gouvernement est en train de recalculer les coûts du projet afin de définir, début<br /> 2013, un plan de financement et de séquencement. Un rapport doit être remis à la fin de l'automne à Cécile Duflot sur le sujet.<br /> <br /> <br />  <br />
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V
<br /> Il y a effectivement fort à parier que la construction de logements sera réalisée bien plus rapidement que la mise en service du<br /> métro-express.<br /> Sans, bien évidement, prévoir les services qui devraient aller de pair avec une forte augmentation de la population …<br /> <br /> <br /> En somme rien ne change en matière d’urbanisme : pas de vision de long terme, et la culture de l’urgence !<br /> <br /> <br /> <br />
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F
<br /> Le GRAND PARIS au point mort. Les mauvaises nouvelles restent délicates à assumer. Aucun euro n’est inscrit pour le financement du<br /> futur métro automatique autour de Paris dans la Loi de programmation des finances publiques 2013 – 2015. La société du GRAND PARIS et la Préfecture de la Région Ile-de-France attendaient<br /> l’inscription d’un milliard d’euro en 2015 pour l’avancement  du GRAND PARIS EXPRESS.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> « La non inscription du milliard<br /> d’euro attendu signifie que le métro automatique en boucle autour de Paris est en rade. Sera-t-il réalisé ? On peut se poser vraiment la question.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Seuls devraient être financés, le tronçon Issy-les-Moulineaux – Noisy-Champs, au Sud et le tracé dit« orange» à l’Est de<br /> Paris.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Mais nous allons construire 70 000 logements/an supplémentaires, bonjour la circulation et les bouchons. Où seront les<br /> emplois ?<br /> <br /> <br />  <br />
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A
<br /> C’est une évidence, tout le monde s’accorde à le dire. De l’Architecte du Grand Paris Yves LIONS, en passant par la Société du<br /> Grand Paris, et maintenant le Préfet d’Ile-de-France.<br /> <br /> <br /> Les éventuelles expropriations sur les Bas-Heurts, suite à DUP, pour construire des logements est tout simplement une initiative<br /> partisane et simpliste de 2004, du Maire de Noisy-le-Grand, qui ne repose aujourd’hui sur aucun fondement sérieux ? C’est tout simplement un abus de pouvoir.<br />
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P
<br /> J'en déduis donc, selon votre dernier commentaire, que l'on pourrait loger les personnes en demande de logement sans raser d'habitation ni exproprier des habitants actuels ?<br /> <br /> <br /> Une évolution naturelle du territoire en somme.....<br />
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A
<br /> Le Figaro du jeudi 27 septembre. Daniel CANEPA, Préfet de la Région Ile-de-France, précise que nous avons 200 Km² de terrains<br /> disponibles, pour accueillir 1 million d’habitant et 70.000 logements d’ici 10 ans. Cela représente l’équivalent de la superficie de Paris.<br />
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A
<br /> La nouvelle ligne de bus 310, desservira 18 arrêts sans quitter Noisy-le-Grand dans sept quartiers. Les Yvris, le Montfort, le<br /> Mont-d’Est, le Pave-Neuf, le Centre-ville, le Marnois et le Champy. L’objectif est triple :<br /> <br /> <br /> -          désenclaver<br /> les quartiers,<br /> <br /> <br /> -          éviter la<br /> saturation des autres lignes,<br /> <br /> <br /> -          proposer des<br /> horaires le dimanche et les jours fériés<br /> <br /> <br /> Le STIF prévoit de faire voyager 472.000 passagers / an.<br />
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