La crise de l'immobilier en France... et à Noisy-le-Grand

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I
MMOBILIER : EN TROIS MOIS, LES MISES EN CHANTIER BAISSENT SERIEUSEMENT !


Selon les statistiques du Ministère, les mises en chantiers de logements en France ont encore baissé de 21,6% entre mars et mai 2008, soit 83166 unités, et les permis de construire de 19,9% à 112933 unités. Sur les 12 derniers mois, le nombre de mises en chantier a reculé de 2,6%, et le nombre de permis de 10,7%.
Sur la même période, la mise en chantier de logements collectifs baisse de 7,4%.
Selon une étude de Exane BNP Paribas, la réservation de logements neufs devrait reculer de 35% cette année et de 30% en 2009.


COUP DE FROID SUR LES BUREAUX FRANCILIENS : FORT RECUL !

Selon les chiffres du GIE Immostat (Atisreal, CBRE, DTZ et Jones Lang LaSalle), la demande placée qui retrace le nombre de m² loués et vendus à leurs utilisateurs, a baissé de 17,5% à 593 944 m², par rapport à la même période de 2007. Ce qui explique une offre globale de bureaux immédiatement disponibles (le stock), de plus 5% à 2 578 000 m².

Autre très mauvaise nouvelle, le montant des investissements en immobiliers d'entreprise (Bureaux, Commerces, Entrepôts), a été divisé par deux pour s'établir à 4,65 milliards au premier semestre, contre 10,9 milliards un an plus tôt. Jones Lang LaSalle estime que l'on retrouve les niveaux de demande placée de 2005.

Sur Marne la Vallée, malgré un prix de 114 €/m², soit le plus bas de la deuxième couronne, l'indicateur provisoire du 2ème trimestre 2008, donne 15 835 m² de transaction, pour un stock de 75 000 m².


PROMOTION IMMOBILIERE : PERSPECTIVE EN BAISSE !

Les promoteurs immobiliers ont le moral en berne.

Guy Nafilyan, le PDG de Kaufman & Broad, dit que l'année 2008 a mal commencé, marqué par un « environnement économique et financier incertain » et par le « ralentissement du marché du logement en France ». Aussi le bénéfice net de Kaufman & Broad a chuté de 71,3% au premier semestre 2008. Le taux de désistement a atteint 29% et les réservations ont chuté de 23%. Cette baisse serait due essentiellement au changement d'attitude des banques dans l'octroi des crédits, à l'augmentation des taux d'intérêts et, plus généralement, à l'attentisme des acquéreurs.

Face à cette situation, en juin 2008 le titre a perdu plus de 17% et Kaufman & Broad doit se serrer la ceinture. Sur 115 programmes qui devaient être lancés en 2008, 15 seront abandonnés. Par ailleurs, les promoteurs ont retenu les leçons de la crise des années 1990, pas question d'avoir du stock. Sur les 105 000 logements neufs mis en vente, moins de 3 000 sont terminés.

Chez les Nouveaux Constructeurs, les objectifs sont à la baisse pour 2008. Ces révisions interviennent en raison d'un marché plus difficile que prévu au cours des 5 premiers mois de l'exercice, où le rythme de vente a ralenti d'environ 30%.

Le Groupe ne prévoit plus désormais qu'une croissance de 10% de son chiffre d'affaire sur l'année, au lieu de 20% auparavant, avec une marge d'environ 8%, au lieu de 10%. Aussi, la Bourse a immédiatement sanctionné cette révision à la baisse en juin dernier. Pour 2009 et 2010, la croissance du chiffre d'affaire pourrait être du même ordre, compte tenu des incertitudes liées au marché espagnol. En 2007, les Nouveaux Constructeurs n'avaient déjà pas pu atteindre ses objectifs fixés en novembre 2006. En conséquence, le Groupe compte limiter les acquisitions foncières et maîtriser sa progression dans l'immobilier d'entreprise.


DES PROMOTEURS IMMOBILIERS GUETTES PAR LA FAILLITE !

Le 03 septembre, le Tribunal de Commerce de Saint-Brieuc a prononcé la mise en redressement judiciaire de la société Celeos, implantée à Plérin (29), qui emploi aujourd'hui 430 personnes.

En Provence, c'est la société Piera, un promoteur de Gap (05) spécialisé dans les montages défiscalisés type Loi De Robien, qui est touché de plein fouet par le retournement du marché immobilier. Sur 114 salariés, 60% devraient être licenciés.

Les Clients mécontents vont donc se tourner vers la justice. Voilà comment on s'embarque pour 10 ans de procédures coûteuses, fastidieuses et aléatoires !!!


ET NOISY-LE-GRAND ???...
Commentaires...


Manifestement, actuellement le marché de l'immobilier est comme la météo du premier semestre : maussade. Mieux, plus particulièrement sur Marne-la-Vallée, depuis 2005 la tempête persiste sur l'immobilier de bureaux. Si en 2005, le stock était évalué à 1 000 000 m², il reste au premier semestre de cette année une offre immédiate de 75 000 m². Et pourtant, selon Immostat, le prix attractif de 114 €/m² est le plus bas d'Ile de France, comparé à La Défense : 388 €/m², la première couronne Est à 214 €/m² et le Pôle de Roissy à 128 €/m².

Alors pourquoi ?... Une concurrence effrénée entre différents pôles tertiaires ? L'éloignement de Paris ? Des transports peu fiables ? Une image de marque à restaurer ? L'insécurité ?
D'après le Parisien du 03 septembre, à 235 €/m², il est vrai que Saint-Denis se positionne comme un sérieux concurrent. Le site « Les Portes de France », est aujourd'hui clairement identifié comme un lieu remarquable avec 150 000 m² de nouveaux immeubles en construction. Pour attirer de plus en plus de sièges sociaux (Forclum, Cegelec, Verspieren), Saint-Denis a opté pour le haut de gamme : architecture originale, label HQE, encadré par l'A 86, au pied du RER B Stade de France.

Et Noisy-le-Grand dans cette bagarre ne décolle pas malgré les discours de Michel Pajon. Selon Fabrice Desrez, les nouvelles sociétés ont du mal à venir jusqu'à Noisy-le-Grand. Pourtant la commune multiplie les effets d'annonces : le Parisien du 15 novembre 2007 : « les bureaux de Copernic affichent complets », Noisy mag de mars 2008 « Noisy surfe sur la vague immobilière ». En réalité, si aujourd'hui l'ensemble des trois immeubles Copernic (Mercure, Uranus et Jupiter) est entièrement loué, la troisième tranche de Jupiter est entièrement occupée, dans le cadre d'une restructuration, par les salariés et le Centre de Formation d'IBM. IBM qui se trouvait déjà à Noisy-le-Grand depuis des années, et qui a quitté son immeuble Montaigne pour le revendre au Ministère des Finances. En conséquence, posons-nous la question de savoir quelle est vraiment la plus value de cette opération sur l'emploi, et sur la Taxe Professionnelle pour les Noiséens ?... Néant !...C'était encore simplement un effet d'annonce !!!

Et pourtant, Michel Pajon s'obstine. Il veut encore aménager 4 000 000 m² de bureaux sur Maille Horizon, mais pour quoi faire, dans un marché atone et versatile. Hormis le Lycée International, espérons qu'Epamarme aura la sagesse de réserver ce foncier à l'aménagement mixte de quelques bureaux, mais aussi de logements, ce qui évitera de raser le quartier des Bas-Heurts comme le préconisait le « projet alternatif » des Etudiants de l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Paris - La Villette, en février 2007. Comptons sur le bon sens de Monsieur le Préfet de Seine-Saint-Denis, pour initier ce processus, et éradiquer les velléités de l'Edile.

Michel Pajon persiste toujours lorsqu'il déclare en Conseil Municipal le 24 juillet dernier : oui, nous sommes face à une crise de l'immobilier, et nous n'en connaissons pas la durée, mais nous devons être prêts pour la reprise qui viendra un jour. En fait, « la meilleure défense, c'est l'attaque », dit ce passionné de ballon ovale. C'est donc encore à Noisy-le-Grand, que demain « l'effet springboks » va s'appliquer à la politique immobilière partisane et incohérente de la Commune.

Quel désastre à ne pas vouloir regarder les réalités économiques immobilières en face. N'oublions pas que les finances de la Socaren sont misent à mal cette fois ci par « l'effet Bas-Heurts ». C'est encore 1 000 000 d'euros qui viennent d'être alloués le 24 juillet à la Socaren, dans le cadre d'une deuxième avance de trésorerie pour l'aménagement de la ZAC du Clos aux Biches. ZAC qui n'existe plus depuis avril 2008 et la Socaren, soit-disant aménageur qui n'aménage rien depuis son origine en mai 2005, à cause du combat de l'ADIHBH-V et de la solidarité des Noiséens et des Bryards qui manifestent régulièrement leurs désaccords sur ce projet. Et si demain la Socaren buvait un bouillon, sachant que la Mairie est caution des deux emprunts ? Qui va payer, d'après vous ? Chercher l'erreur....

Et oui, Monsieur le Maire, « l'effet Bas-Heurts », est pour nous l'occasion de montrer nos valeurs de solidarité ou prime l'amitié et le courage. Nos victoires font que nous mesurons auprès des Noiséens et Bryards un enthousiasme qui gagne de plus en plus de terrain. « L'effet Bas-Heurts » est aussi une grande famille, et si nous ne revenons pas à une politique immobilière raisonnable sur Noisy le Grand, nous aussi nous préparerons demain nos mêlées. Il y aura du sport, et c'est logique, puisque Noisy-le-Grand est terre de champion du monde en Rugby et possède des médaillés olympiques.


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U
<br /> Il y a des réajustements douloureux mais nécessaires pour un redépart réussi.<br /> <br /> <br />
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A
Selon GIE Immostat, le montant des investissements en immobilier d'entreprise en Ile de France ne s'est élevé qu'à 1,7 milliard d'euros, contre 6,7 milliard,un an plus tôt.
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M
Otez-moi d'un doute Monsieur Pajon, "LES NOUVEAUX CONSTRUCTEURS (LNC)", c'est bien le promoteur qui construit le Carré Rennaissance, et dont Monsieur Olivier Mitterrand est le Président du Directoire ? Car aujourd'hui, Le Moniteur-expert.com, titre: 18,3 millions d'euros de perte nette au premier semestre pour Les Nouveaux Constructeurs. Face à ce contexte, LNC a décidé un ralentissement, voire un gel des maîtrises foncières. Compte tenu de cette dégradation des marchés immobiliers et de l'impact de la crise financière, le groupe a décidé de ne plus communiquer à ce stade de prévisions pour l'année. Au moins, en voilà un qui ne sera plus candidat pour construire la ZAC du Clos d'Ambert. A qui le tour Monsieur le Maire, c'est pas bon cette affaire , c'est pas très heureux ! mais il y a déjà un moment que nous vous le disons.
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F
LE FIGARO.Fr du 30 septembre 2008, titre: "MAUVAISE RENTREE POUR LES PROMOTEURS". La promotion immobilière fait les frais des difficultés des Français à emprunter. Entre janvier et juillet 2008, 66 promoteurs ont fait l'objet d'une procédure de redressement judiciaire, soit  22% de plus qu'en 2007. KAUFMAN & BROAD, troisième promoteur Français, pourrait supprimer 166 postes ? Les promoteurs renégocient le prix des terrains, compressent les programmes et choisissent des matériaux moins chers. Et, et,... pas de blague, Messieurs les promoteurs, à Noisy le Grand nos économistes nous disent que l'on va construire conformément aux standards Haute Qualité Environnementale (HQE). Mais nous savons tous que la "HQE", c'est plus 30% sur le prix de revient ! Alors, comment peut-on résoudre cette équation, voilà une bonne étude de cas pour les Conseillers Municipaux?
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A
La Banque DEXIA à son tour menacé !!!...Née en 1996, cette banque Franco Belge est spécialisée dans les prêts aux collectivités locales. Lundi 29 septembre, l'action DEXIA à la bourse de Paris a chuté de 28,5%. Après FORTIS, les investisseurs ont craint que DEXIA ne soit prise à son tour dans la tourmente, et menacée d'effondrement par la crise financière !Mais le plus (ou le moins) drôle, c'est que DEXIA est la banque qui a accordé deux prêts à la SOCAREN en octobre 2005 et juin 2006, pour un montant global de 5,5 M€, pour la ZAC du "Clos aux Biches". Prêts garanti par la ville à hauteur de 80%. En d'autres termes, garanti par les impôts locaux des Noiséens.Gens de Noisy le Grand, ne commencez pas à vous inqiéter,les Experts disent qu'il s'agit d'une panique irrationnelle. Par ailleurs la Ministre Christine Lagarde a fait savoir que la "Caisse des Dépots" (CDC) prendra ses responsabilité en tant qu'actionnaire de DEXIA. Caisse des Dépots; collecteur du 0,45% patronal et qui devrait normalement dévelloper les prêts logements aux salariés d'entreprises , mais qui, encore une fois, sera le pompier de l'Economie Nationale!!!...Alors, dormons sur nos deux oreilles, ça baigne à Noisy le Grand, mais vous n'êtes pas obligés de nous croire. Toutefois, Monsieur le Maire, il serait peut urgent de mettre votre politique immobilière en veilleuse, car les banques craquent, et certains groupes immobilliers sont au bord de la faillite pour avoir financé leur développement uniquement à crédit.
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D
Effectivement ce ne sont pas des babioles et il est bon de le préciser. D'autant que certains emprunts courrent depuis presque trois ans et que les intérêts des emprunts ..... s'ajoutent à ces sommes. Comme vous je ne suis pas une spécialiste en finances mais j'ai quand même l'impression que dans cette affaire on a mis le charue avant les boeufs avec ces acquisitions amiables, et démolitions d'habitations de très bonnes qualité. Le maire aurait du attendre le résultat de l'enquête publique avant d'engager toutes ces sommes (fruit de nos impots. Merci pour toutes vos informations et un grand bravo pour cette nouvelle présentation de votre blog 
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A
En réponse à Danièle P.Lorsque vous consultez la délibération n° 153 du Conseil Municipal du 30 juin 2008, relative Rapport Spécial établi par la SOCAREN au titre de l'année 2007, dans le cadre de la Convention Publique d'Aménagement de la ZAC du Clos aux Biches, vous constatez que la note de conjoncture mentionne:......la SOCAREN s'est constitué une trésorerie par des emprunts garantis par la ville et par une avance de trésorerie accordée par la commune, rappelés ci-après:- emprunt de 3 500 k€ du 05/10/2005 pour une durée de 5 ans et 6 mois,- emprunt de 2 000 k€ du 06/06/2006 pour une durée de 5 ans,- avance de trésorerie de 1 500 k€ du 26 juillet 2006 versée par la ville à la SOCAREN le 21/12/2006 et remboursable à la fin du quatrième trimestre 2010,- avance de trésorerie de 2 500 k€ du 27/11/2007 ayant fait l'objet d'un premier versement par la ville à la SOCAREN de 1,5 M€ le 18 décembre 2007, le second versement de 1 M€ étant prévu en T2 2008; l'avance étant remboursable en une seule fois, au 31 décembre 2010.Hé, hé,...c'est pas des babioles tout ça. Ca pose un certain nombre de questions sur nos finances publiques qui maintiennent la tête de la SOCAREN hors de l'eau!!! A l'ADIHBH-V, nous ne sommes pas spécialistes en finances, mais si un érudit veux bien nous faire une analyse, nous  prenons, merci d'avance .
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D
Vous qui connaissez bien ce dossier, pouvez vous nous dire combien de millions d'Euro ont été alloués à la SOCAREN depuis le début de l'affaire des Bas-Heurts et éventuellement quel est le montant des cautions de la ville à la SOCAREN ? Merci de vos informations Cordialement
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J
Et NOISY, ET NOISY, ET NOISY répond l'écho .....Pendant ce temps, LES ECHOS titrent, SAINT DENIS: CAPITALE ECONOMIQUE DU "9.3" RESISTE A LA CRISE.La capitale économique du "9.3" doit son décollage à l'implantation du Stade de France, et le monde économique n'a plus parlé que de Saint Denis. L'efficacité du réseau de transport a fait le reste: Périphérique, A1, A 86, RER (B et D), ligne 13 du métro et la 12 en prolongement depuis la porte de la chapelle.La qualité du site est aujourd'hui reconnue par les entreprises qui ont loué 71 000m² durant 2007 et 35 000 m² entre janvier et le 15 septembre 2008. En dix ans, le parc de bureaux a doublé pour atteindre 800 000 m² à fin septembre 2008.Des loyers accessibles à la grande majorité des entreprises compris entre 275 € et 325 €/m²/an/HT. Et NOISY LE GRAND avec 115 €/m², rien !!! ou très peu, ou des clopinettes. Copie à revoir Monsieur le Maire.
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F
Et si aujourd'hui, dans le journal les ECHOS, nous trouvions la réponse IBM ? CHANGER DE SIEGE SOCIAL POUR REDUIRE LES DEPENSES. Selon Atisreal, pour les entreprises qui souhaitent déménager, le critère économique est déterminant. Elles ont compris que l'immobilier, qui représente leur principal poste de dépenses après les salaires, constitue un important gisement d'économie. Un questionnaire de CB Richard Ellis montre que les critères pour s'installer dans un nouvel immeuble sont: la réduction des coûts, les transports en commun, la localisation (51% à moins de 5 km de l'ancien immeuble, 38% entre 5 et 15 km),la logeabilité et la flexibilité, la sécurité des personnes et le prestige de l'adresse.Nous sommes bien loin, semblerait-il, de la création d'emploi !!!...
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A
Selon le Président de la Fédération Française du Bâtiment: "fin d'année difficile pour le secteur du bâtiment". Didier Ridoret annonce que le secteur devrait dégager en 2008 des ventes en baisse de 5% à 6% par rapport à 2007.Après "11 années de belles activités et la création de 200 000 emplois", le bâtiment fait face actuellement à un ralentissement de la conjoncture. Ce secteur prévoit la construction de moins de 400 000 logements neufs en 2008, contre 435 000 l'an dernier, en raison notamment de la chute importante de 30,9% des ventes des logements neufs au premier semestre, et la baisse de 22,1% des mises en chantier des bâtiments administratifs au cours des sept premiers mois de l'année.  (info: batiweb.com)
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E
Et que dire de la Société FINDUS FRANCE qui s'implantait à Mont d'Est, il y a environ deux ans, en provenance de Noisiel (77). Alors, création de 60 emplois dans l'Est Parisien ou simple transhumance de salariés? Quel gain pour la ville de Noisiel, il faudrait peut être poser la question à Monsieur le Maire de cette ville!
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E
Que dire de plus ... sinon que le conseiller municipal que je suis est très satisfait de ne pas "crier dans le desert"... Que les citoyens se mêlent de leurs affaires, c'est tant mieux car il parait que les "coups de pied au c... font monter les idées à la tête"... Et si c'était vrai ?
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